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Chiffres 2021 de l’Observatoire en région Centre – Val de Loire

Chiffres 2021 de l’Observatoire en région Centre – Val de Loire

L’association GSC et la société Altares dévoilent la 6ème édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Les chiffres 2021 de l’Observatoire en région Centre – Val de Loire révèlent qu’en 2021, 1026 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle, soit une diminution de 2,4 % par rapport à l’année 2020.

  • Des aides qui ont permis d’amoindrir les effets de la crise et continuent de doper l’économie.
  • Les chefs d’entreprise seniors (souvent expérimentés) restent les premiers touchés.
  • L’observatoire 2021 est une radiographie de l’économie dont la guerre en Ukraine montrera d’autres points de vulnérabilité.

Centre-Val de Loire : un territoire contrasté

La majorité des départements de la région enregistre une diminution du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Le département du Loiret (272 dirigeants) représente à lui seul plus d’un
quart des pertes d’emploi de la région malgré une baisse de 3,2 %.

Dans deux départements, la baisse des dirigeants en situation de « chômage » est supérieure à 15 % : Cher (103 dirigeants, – 18,3 %), et le Loir-et-Cher (124 ; – 16,8 %). 198 chefs d’entreprise du département de l’Eure-et-Loir se sont également retrouvés en situation de chômage, soit une baisse de 1 %.

Les départements de l’Indre-et-Loire et de l’Indre sont les seuls à enregistrer une hausse des chefs
d’entreprise qui ont perdu leur activité professionnelle en 2021 avec respectivement 232 dirigeants
contre 219 en 2019 (+ 5,9 %) et 97 dirigeants contre 76 en 2019 (+ 27,6 %).

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC : « Le soutien de l’Etat continue de produire ses effets pour aider les entreprises à maintenir la tête hors de l’eau. Nous n’avons pas été confrontés au raz-de-marée des faillites redouté. Néanmoins, les chefs d’entreprise devront faire face à de nouvelles menaces, conséquences de la guerre en Ukraine et il convient d’être particulièrement prudent pour l’avenir. En 2021, ce sont près de 30 000 femmes et hommes chefs d’entreprise qui ont perdu leur emploi au niveau national et 1 026 en région Centre-Val de Loire. Pour l’immense majorité d’entre eux, sans filet de sécurité. Et c’est un véritable drame, lorsque ces derniers viennent trop tardivement demander de l’aide et nous disent « si j’avais su » ! ».

Pour Frédéric Barth, Directeur Général d’Altares : « Après un recul historique de 8 % du PIB 2020, la croissance française signait en 2021 son meilleur chiffre (+7 %) depuis plus de 50 ans.
L’entrepreneuriat établissait un nouveau record avec près d’un million de nouvelles entreprises
pendant que les défaillances tombaient sous le seuil de 30 000, pour atteindre leur plus bas niveau
depuis 30 ans. »

Les chefs d’entreprise « seniors » particulièrement exposés

L’âge médian des chefs d’entreprise impactés en région Centre-Val de Loire est de 48 ans. La crise
économique touche particulièrement des entrepreneurs pour lesquels le rebond professionnel sera
plus difficile : dans le département de l’Indre l’âge médian atteint 51 ans.
Cette population, dite de « seniors », est généralement installée dans une vie personnelle construite,
avec des charges familiales et financières parfois importantes. Ce contexte personnel peut amplifier
la pression et l’inquiétude en cas de perte d’emploi, et amener à prendre de mauvaises décisions.

« Si le chiffre d’affaires n’est pas au rendez-vous en 2022 pour certains chefs d’entreprise, le paiement des reports de cotisations sociales accordés pendant la crise du Covid-19 ou le début des remboursements des prêts PGE pourraient mener à des situations dramatiques. Notre devoir est de
continuer à accompagner ces chefs d’entreprise et de les inviter à anticiper ces situations. » explique
Anthony Streicher, Président de l’association GSC.

Les entrepreneurs à la tête de petites structures de moins de 3 salariés, représentent près de 7 pertes
d’emploi sur 10 dans la région en 2021.

Les chefs d’entreprise des secteurs de la construction et du commerce restent les plus impactés

Les entrepreneurs des secteurs de la construction (264) et du commerce (241) représentent à eux seuls près de la moitié des pertes d’emploi de la région. Les acteurs de l’immobilier subissent une hausse de 125 %, soit 45 dirigeants de la branche en situation de chômage en 2021 contre 20 en 2020.

Les dispositifs mis en place par l’Etat permettent aux secteurs liés à l’hébergement, à la restauration,
et aux débits de boisson d’être en net recul en 2021 avec -27,3 %. La fin des aides et les difficultés
de pouvoir d’achat des Français nécessitent de rester prudent pour l’avenir du secteur.

Les difficultés sont également présentes dans le domaine information et communication : 33 entrepreneurs ont perdu leur emploi (+50 %).

Les chefs d’entreprise dans le domaine agricole apparaissent comme ceux ayant le moins bien résisté à la crise en région Centre-Val de Loire. 53 professionnels ont perdu leur activité en 2021 (+120,8 % par rapport à 2020). Les éleveurs connaissent la plus forte progression (+ 500 %) et subissent la hausse des prix pour nourrir le bétail.

Méthodologie

Les données sont issues de l’analyse des entreprises, hors sociétés civiles et associations, placées directement, par conversion ou par résolution du plan en liquidation judiciaire par le Tribunal de Commerce ou Judiciaire. Ne sont pas intégrées les procédures de fermeture ou dissolution à l’amiable, de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos

A propos de l’association GSC

Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Generali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 440 millions d’entreprises dans 220 pays.

Contact Presse

Association GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

 

Pour télécharger le Communiqué de Presse 

Une nouvelle campagne TV – « Il faut être un peu fou pour créer sa boîte… »

Une nouvelle campagne TV – « Il faut être un peu fou pour créer sa boîte… »

Seuls 1% des chefs d’entreprise sont couverts pour faire face à la perte de leur emploi.
En cause : une méconnaissance de la problématique de la perte d’emploi des dirigeants, encore mésestimée, mais également un déficit d’information sur les dispositifs permettant de maîtriser ce risque.

Face à ce constat, l’association GSC a imaginé avec l’agence MAI 69 une grande campagne de sponsoring TV autour de 3 billboards, diffusés depuis le lundi 28 mars dans plusieurs programmes phares des chaînes du groupe France Télévisions : On est en Direct, C Ce Soir (France 2), C Dans l’Air, C Politique, C A Dire ?!, Revu (France 5), C’est en France (France 24) ou encore Dans Votre Région (France 3)…

A cette occasion, trois films mettant en scène trois chefs d’entreprise (une fleuriste, un restaurateur, un patron de PME) dans trois situations « décalées » seront diffusés pendant près de 3 mois afin d’alerter et sensibiliser les entrepreneurs aux risques de pertes d’emploi.
Le message est clair : « Il faut être un peu fou pour créer sa boîte… Mais il faut être complètement fou ne pas anticiper le risque d’échec ! »

Billboard TV 8 et 12’’
Dates de diffusion : Du 28 mars au 29 mai 2022 et du 3 octobre au 4 décembre 2022
Annonceur : Association GSC
Agence : Mai 69
Réalisation : Olivier Cavellat
Production : FranceTV Publicité avec Smith en Face

La célébration – 12 sec

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La batterie – 12 sec

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Le micro – 12 sec

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6e Edition de l’Observatoire de l’emploi

28 835 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2021

Un niveau historiquement bas qui doit néanmoins inciter à la prudence.

L’association GSC et la société Altares dévoilent la 6e édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. En 2021, 28 835 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle, une diminution de 13,1 % par rapport à l’année 2020.

  • Des aides qui ont permis d’amoindrir les effets de la crise et continuent de doper l’économie.
  • Les chefs d’entreprise seniors (souvent expérimentés) restent les premiers touchés.
  • L’Observatoire 2021 est une radiographie de l’économie dont la guerre en Ukraine montrera d’autres points de vulnérabilités.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Le soutien de l’Etat continue de produire ses effets pour aider les entreprises à maintenir la tête hors de l’eau. Nous n’avons pas été confronté au raz-de-marée des faillites redouté. Néanmoins, les chefs d’entreprises devront faire face à de nouvelles menaces, conséquences de la guerre en Ukraine et il convient d’être particulièrement prudent pour l’avenir. En 2021, ce sont près de 30 000 femmes et hommes chefs d’entreprise qui ont perdu leur emploi. Pour l’immense majorité d’entre eux, sans filet de sécurité. Et c’est un véritable drame, lorsque ces derniers viennent trop tardivement demander de l’aide et nous disent « si j’avais su » ! ».

Pour Frédéric Barth, Directeur Général d’Altares :

« Après un recul historique de 8 % du PIB 2020, la croissance française signait en 2021 son meilleur chiffre (+7 %) depuis plus de 50 ans. L’entrepreneuriat établissait un nouveau record avec près d’un million de nouvelles entreprises pendant que les défaillances tombaient sous le seuil de 30 000, pour atteindre leur plus bas niveau depuis 30 ans. »

Les chefs d’entreprise « seniors » particulièrement exposés

Dans une année 2021 encore marquée par la crise du Covid-19, le nombre de dirigeants ayant perdu leur emploi est au plus bas depuis la création de l’Observatoire : 28 835 chefs d’entreprise ont subi une liquidation judiciaire, soit une diminution de 13,1 % par rapport à l’année 2020.

L’âge médian des chefs d’entreprise impactés est de 47,5 ans. Cette population, dite de « seniors », est généralement installée dans une vie personnelle construite, avec des charges familiales et financières parfois importantes. Ce contexte personnel peut amplifier la pression et l’inquiétude en cas de perte d’emploi, et amener à prendre de mauvaises décisions. La crise économique touche particulièrement des entrepreneurs pour lesquels le rebond professionnel sera plus difficile : plus d’un tiers d’entre eux avait plus de 50 ans (10 655 dirigeants) en 2021.

Tranche d’âge des chefs d’entreprise ayant perdu leur activité professionnelle

Les chefs d’entreprise de moins de 26 ans sont ceux qui connaissent la plus forte augmentation en 2021 : 706 se sont retrouvés en situation de perte d’emploi, soit + 49,9 % sur un an.

« Si le chiffre d’affaires n’est pas au rendez-vous en 2022 pour certains chefs d’entreprise, le paiement des reports de cotisations sociales accordés pendant la crise du Covid-19 ou le début des remboursements des prêts PGE pourraient mener à des situations dramatiques. Notre devoir est de continuer à accompagner ces chefs d’entreprise et de les inviter à anticiper ces situations. » explique Anthony Streicher, Président de l’association GSC 

Perte d’emploi : des profils de dirigeants éclectiques

La crise impacte tous les dirigeants, quels que soient la taille, le chiffre d’affaires ou encore la forme juridique de l’entreprise. Les entrepreneurs à la tête de petites structures, de moins de 3 salariés, représentent plus des trois-quarts des pertes d’emploi en 2021. Le recul le plus fort observé concerne les entreprises de plus de 50 salariés, mais ceci fait suite à une forte hausse l’année précédente : 214 étaient concernées en 2020 contre 131 en 2021 (-38,8 %).

Si 10 512 entreprises enregistraient un chiffre d’affaires inférieur à 500 000 euros, 232 sociétés concernées par une liquidation judiciaire déclaraient un chiffre d’affaires supérieur à 5 millions d’euros.

Les gérants de SARL, avec 12 766 dirigeants touchés, forment l’essentiel des pertes (-19,5 % par rapport à 2020) tandis que près de 9 618 chefs d’entreprise étaient à la tête d’une SAS (-7,8 %). SARL et SAS sont donc, sans surprise, les deux formes juridiques les plus représentées.

Les chefs d’entreprise du secteur de l’hébergement, restauration, débits de boisson résistent

Les entrepreneurs des secteurs de la construction (6 732) et du commerce (5 906) représentent près de la moitié des pertes d’emploi malgré une baisse respective de 6,2 % et 16,3 %. Les pénuries de main d’œuvre et de matières premières ont des conséquences sur les acteurs du bâtiment : 5 972 dirigeants de la branche se sont retrouvés en situation de chômage en 2021.

Les difficultés sont également présentes dans le domaine du service : 3 933 entrepreneurs ont perdu leur emploi dans les services aux entreprises.

Les dispositifs mis en place par l’Etat permettent au secteur lié à l’hébergement, à la restauration, et aux débits de boisson d’être en net recul en 2021 avec -39,2 %. Cependant, la fin des aides et les difficultés de pouvoir d’achat des Français nécessitent de rester prudent pour l’avenir des professionnels du secteur.

Les chefs d’entreprise dans le domaine agricole apparaissent comme ceux ayant le moins bien résisté à la crise. Après un léger recul en 2020, 646 professionnels ont perdu leur activité en 2021 (+16,8 % par rapport à 2020). Les éleveurs connaissent la plus forte progression (+ 29,4 % soit 251 chefs d’entreprise) et subissent la hausse des prix pour nourrir le bétail.

Les pertes d’emploi par secteur – évolution 2020/2021

L’ensemble du territoire connaît un recul des entrepreneurs en situation de « chômage »

 

Le nombre de chefs d’entreprise ayant perdu leur emploi par région

 

Près d’un quart des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile-de-France (6 578 chefs d’entreprise). Les régions PACA (2979) et Auvergne-Rhône-Alpes (2930) sont également des territoires qui cumulent un nombre important d’entrepreneurs en situation de « chômage ».

Près d’un quart des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile-de-France (6 578 chefs d’entreprise). Les régions PACA (2979) et Auvergne-Rhône-Alpes (2930) sont également des territoires qui cumulent un nombre important d’entrepreneurs en situation de « chômage ».

Dans deux régions, la baisse des pertes d’emploi des dirigeants est supérieure à 30 % : la Normandie (901 ; – 31,5 %) et la Corse (134 ; – 41,2 %), particulièrement sinistrées par la crise économique et sanitaire.

L’Outre-mer fait face à un recul moins conséquent (- 6 %) en raison d’une augmentation des pertes d’activité professionnelle à La Réunion et en Guyane (respectivement + 18,6 % et + 4,1 %).

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A propos

A propos de l’association GSC

Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Generali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 440 millions d’entreprises dans 220 pays.

Contacts Presse :

Association GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com – 04 72 65 15 51

Conférence « L’anticipation des risques, une évidence pour tous? »

Le 5 octobre 2021, l’association GSC a organisé la conférence « L’anticipation des risques, une évidence pour tous? » à l’issue de son Assemblée Générale à la Fabrique Evénementielle (Paris).

Thierry Millon (Directeur des études – Altares DB), Dimitri Pivot (Président – Second Souffle), Anthony Streicher (Président – Association GSC), Stéphanie Pauzat (Vice-présidente – CPME) et Michel Picon (Vice-président – U2P) nous ont fait l’honneur d’y intervenir et de partager leur expertise avec l’audience.

Remerciements

L’équipe de l’association GSC vous remercie de votre présence à sa conférence L’anticipation des risques : une évidence pour tous ?. Nous avons été ravis de vous y accueillir et espérons que vous y avez passé un bon moment. Aussi, nous vous proposons de revivre ce moment en images.

Les intervenants experts de la conférence
Dimitri Pivot, Thierry Millon, Elodie Warnery, Stéphanie Pauzat, Anthony Streicher et Michel Picon

Retour en images

Retour sur les temps forts

Découvrez dans cette section les captations des temps forts de la conférence.

« Entrepreneur, suis-je à l’abri face au risque ? » Dimitri Pivot, Président de l’association Second Souffle

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« Quelles entreprises ont été les plus touchées par la crise économique et sanitaire ? » Stéphanie Pauzat, vice-présidente de la CPME.

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« Comment appréhender la fin du quoi qu’il en coûte ? » Thierry Millon, directeur des études d’Altares D&B.

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« Informer et sensibiliser le chef d’entreprise face aux risques de perte d’emploi : une nécessité ». Anthony Streicher, président de l’Association GSC.

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« Les enjeux de la reprise : continuer à accompagner les entrepreneurs les plus exposés ». Michel Picon, vice-président de l’U2P et président de l’UNAPL.

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Interviews

L’association GSC a posé 2 questions à 4 de nos experts. Comme nous souhaitons partager avec vous leur expertise, retrouvez leurs réponses en images ci-dessous.

Comment être accompagné en cas de difficultés ?

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Anticiper : une nécessité pour rebondir ?

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Comment faire face au risque de perte d’emploi ?

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Quel impact de la crise sur les entreprises de proximité  ?

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Des solutions pour prévenir les risques entrepreneuriaux ?

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Quels nouveaux risques pour les entreprises ?

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En 2021, l’anticipation, une évidence ?

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Crise covid : l’anticipation au coeur des débats ?

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Toute l’équipe de l’association GSC vous remercie – invités et experts – de votre présence, de vos interventions et du partage de votre expertise.

Evénement : Invitation à la table ronde du 5 octobre 2021

Invitation à la table ronde du 5 octobre 2021

A l’issue de son assemblée générale, l’association GSC vous invite à la table ronde intitulée  : « L’anticipation des risques, une évidence pour tous ? ».

De plus, un cocktail déjeunatoire nous permettra de partager en toute convivialité après l’événement.

Lieu : La Fabrique Evénementielle – 52 ter rue des Vinaigriers – 75010 Paris (cliquez ici pour voir le plan)

Accès : Station Château d’eau sur la ligne 4 ou Station Gare de l’Est sur les lignes 4, 5 et 7.

Pour vous y inscrire, cliquez ici.

Si vous êtes adhérent et souhaitez participer à l’assemblée générale, contactez-nous par email à : contact@gsc.asso.fr

 

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Pour avoir accès à la Fabrique Evénementielle, nous vous rappelons qu’il est impératif d’être muni :     

– De votre invitation                                                                                                                                              

– D’un pass sanitaire valide (certificat de vaccination ou test PCR/antigénique de moins de 72h).      

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Allocation Travailleur Indépendant : Il faut sauver tous les entrepreneurs

Allocation Travailleur Indépendant : Il faut sauver tous les entrepreneurs

L’Allocation Travailleur Indépendant a été mise en place en novembre 2019. Découvrez le bilan de cette mesure ci-après. Notre constat : il faut sauver tous les entrepreneurs.

  • EN CHIFFRES 

En 2020, 33 189 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle.

Moins de 3 000 demandes d’Allocation du Travailleur Indépendant (ATI) ont été enregistrées par Pôle Emploi. Parmi elles, seules 800 ont abouti à une indemnisation. Le dispositif présente un taux de couverture intérieur à 10% (contre 60% initialement prévus). Seulement 1% des chefs d’entreprise en France ont souscrit une assurance perte d’emploi quelle qu’elle soit.  

  • CONSTAT 

À l’heure de la relance, des milliers de chefs d’entreprise risquent de perdre leur emploi en 2021 et pour la majorité, sans filet de sécurité ! Ces femmes et ces hommes qui, grâce à leur volonté et leur énergie, créent de la valeur et des emplois. Sans ces entrepreneurs, qui seront les piliers de la relance ? Sur qui s’appuiera la croissance de demain si nous ne les soutenons pas ?  

  • ENJEUX 

L’information sur l’anticipation et les risques doit devenir une obligation car notre devoir est de sauver tous les entrepreneurs.
D’une part, informer les entrepreneurs 
des solutions existantes de protection contre la perte d’emploi du dirigeant doit être une priorité.
D’autre part, dans une logique de crise économique, l’ATI doit être repensée pour devenir un dispositif d’urgence, 
à l’instar du chômage partiel, et soutenir davantage les entrepreneurs.  

À défaut de pouvoir sauver toutes les entreprises en péril, il faut sauver l’esprit d’entreprendre de nos dirigeants en les aidant à rebondir, à créer et à participer pleinement à la relance du pays. 

 

Le soutien de l’Etat à l’économie trouve sa traduction dans un Plan de relance d’une ampleur inédite.
Mais sauver toutes les entreprises sans chercher à sauver les entrepreneurs ne sert à rien.
L’Etat se doit de soutenir, les femmes et les hommes chefs d’entreprise que la crise a empêché d’entreprendre, et sur qui s’appuiera la croissance de demain.
 

 

A chaque étape de la vie de l’entreprise, tous les tiers de confiance accompagnant l’entrepreneur (experts-comptables, CCI, CMA, greffiers du Tribunal de Commerce, banquiers, avocats…) doivent systématiquement le sensibiliser aux conséquences d’une perte d’emploi et l’informer de l’ensemble des solutions existantes permettant de maîtriser ce risque. 

 

Compte tenu de la crise sanitaire, il faut temporairement transformer l’ATI en dispositif d’urgence.
J
usqu’à l’éte 2022, le montant de l’indemnité doit être augmenté à 1 000€ minimum et l’accès doit être ouvert aux chefs d’entreprise en activité depuis 1 an (au lieu de 2). 

 

A l’issue de chaque liquidation judiciaire, les Tribunaux de Commerce doivent systématiquement informer le dirigeant de l’existence de l’ATI et de son droit à en bénéficier, ainsi que des démarches à entreprendre pour y avoir accès. 

 

5ème édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

Communiqué de presse du 16 mars 2021

5ème observatoire de l’emploi des entrepreneurs
33 189 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2020

Les dirigeants expérimentés à la tête de PME premières victimes de la crise

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs : l’association GSC et la société Altares vous dévoilent la 5e édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. En 2020, 33 189 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle, une diminution de 31,4 % par rapport à l’année 2019. Les mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la crise de la COVID-19 ont protégé temporairement les dirigeants de la faillite. Les chefs d’entreprise expérimentés à la tête de PME sont les premiers à être impactés.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC : « Nous ne pouvons pas nous réjouir de cette baisse historique du nombre de chefs d’entreprise en situation de chômage. Ces chiffres ne sont malheureusement qu’un mirage qui doivent inciter à redoubler de prudence. Les dispositifs de l’État ont permis aux entreprises de maintenir la tête hors de l’eau, mais ne soyons pas naïfs, l’arrêt progressif des aides va provoquer un raz-de-marée pour des milliers de chefs d’entreprise. »

La crise touche les chefs d’entreprise expérimentés

En 2020, 33 189 chefs d’entreprise ont dû faire face à une liquidation judiciaire. En baisse de près de 31 % par rapport à 2019, le nombre de dirigeants ayant perdu leur emploi est au plus bas depuis la création de l’Observatoire.

L’âge médian des dirigeants impactés est de 48 ans soit 2 ans de plus qu’en 2019. Ces chefs d’entreprise « senior » et expérimentés auront davantage de difficultés à rebondir après le prononcé de la liquidation judiciaire de leur entreprise.

Près d’un tiers des entrepreneurs en situation de perte d’activité avaient plus de 50 ans avec 12 952 dirigeants concernés.

« Notre devoir est de sauver tous les entrepreneurs, ces femmes et ces hommes qui créent de la richesse et des emplois dans notre pays. La crise s’attaque à des chefs d’entreprise installés dans leur vie personnelle qui peuvent avoir des charges familiales et une pression financière lourdes. J’ai demandé à ce que le plafond et les conditions d’accès à l’allocation des travailleurs indépendants (ATI) soient temporairement modifiés jusqu’au 30 juin 2022. Mais, au-delà de la situation d’urgence, tous les dirigeants doivent avoir connaissance des filets de sécurité existants et des moyens de protéger sa famille, ses revenus quand tout s’écroule. C’est notre responsabilité collective de les informer pour éviter des situations dramatiques. » explique Anthony Streicher.

Les gérants des PME plus fortement impactés

Les entrepreneurs à la tête de structures de moins de 5 salariés connaissent le plus fort recul de perte d’emploi. Il s’agit généralement de jeunes entreprises qui ont fait preuve de plus de souplesse et d’une transformation rapide pour s’adapter au contexte. Cependant, 9 dirigeants sur 10 en situation de chômage en 2020, avaient une entreprise de moins de 5 salariés soit 27 147 chefs d’entreprise.

Sur l’année 2020, ce sont les dirigeants de PME, souvent installés depuis plusieurs années dans leur secteur, qui ont connu la plus forte progression (+ 20,9 % en un an). Cette nécessaire agilité dans un contexte de crise n’est pas toujours aussi bien ancrée dans des structures d’envergure.

Les gérants d’entreprise avec un chiffre d’affaires supérieur à 2 millions d’euros ont moins bien résisté. 151 entrepreneurs concernés se trouvaient à la tête d’une société dont le chiffre d’affaires était supérieur à 10 millions d’euros, soit une augmentation de perte d’emploi des dirigeants de 42,5 % par rapport à l’année 2019.

Les gérants de SARL représentent plus de la moitié des pertes avec 15 864 dirigeants sans emploi (en baisse de 38,3 %). 10 436 autres chefs d’entreprise étaient à la tête d’une SAS.

 

« Un record de création d’entreprises, un nombre de défaillances au plus bas depuis 30 ans ! Dans un contexte économique et sanitaire inédits, ces remarquables indicateurs de performance ne font toutefois pas illusion. En 2020, l’économie réelle a mis un genou à terre et les entrepreneurs se sont efforcés de tenir au prix d’efforts humains et financiers exceptionnels.

Heureusement, l’horizon s’éclaircit enfin. La reprise se profile mais avec elle, aussi, le durcissement du risque commercial et financier. Le nombre de dirigeants en situation de perte d’emploi devrait augmenter en 2021 et plus encore en 2022. C’est pourquoi Altares et l’Association GSC portent ensemble depuis 5 ans cet Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Sensibiliser chaque dirigeant à l’importance de se garantir contre la perte d’emploi : un enjeu social et économique majeur. » explique Frédéric Barth, Directeur Général d’Altares.

L’ensemble des secteurs marqués par la baisse

Les entrepreneurs de la construction (7 179) et du commerce (7 056) représentent près de la moitié des pertes d’emploi malgré une baisse respective de 36 % et 33 %. Les activités de commerce considérées pendant les confinements comme « non-essentielles » concentrent les plus faibles reculs : – 25,9 % pour le commerce de l’habillement contre – 33,5 % pour les commerces alimentaires.

Les aides de l’État envers les secteurs à l’arrêt pendant la crise, ont permis de contenir temporairement la perte d’emploi des dirigeants. Dans le domaine de l’hébergement, restauration et débit de boissons, 4 377 femmes et hommes se sont retrouvés au chômage en 2020. Le secteur de la restauration concentre à lui seul plus des trois-quarts des chefs d’entreprise impactés.

Les difficultés sont également présentes dans le domaine du service. 4 372 entrepreneurs ont perdu leur emploi dans les services aux entreprises. De fortes disparités sont constatées entre les différentes activités du secteur. Les activités liées à l’emploi particulièrement en difficulté en 2019, connaissent le plus fort recul (- 45,5 %) tout comme l’activité de nettoyage de bâtiments (416 entrepreneurs impactés contre 624 en 2019).

Le secteur information et communication connaît la plus faible évolution ; 935 entrepreneurs ont perdu leur emploi en 2020, contre 1 158 en 2019.


L’ensemble du territoire enregistre une diminution du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les régions Ile-de-France (23,9 %), Auvergne-Rhône-Alpes (10,8 %) et PACA (10,7 %) représentent à elles seules près de la moitié des pertes d’emploi en France. Dans trois régions la baisse des pertes d’emploi des dirigeants est supérieure à 35 % : Grand Est (2 271 ; – 35,1%), Auvergne-Rhône-Alpes (3362 ; – 36,6 %), Centre-Val de Loire (985 ; – 36,8 %).

La Martinique, seul département français à connaitre une augmentation des chefs d’entreprise en situation de « chômage »

L’Outre-mer fait face à un recul moins conséquent (- 6,2 %) en raison d’une augmentation significative de 61,4 % en Martinique.

Téléchargez l’infographie complète

Téléchargez le communiqué de presse

 

La place des experts – association GSC & CPME13

[REPLAY]

La CPME13 nous a convié à son nouveau rendez-vous matinal : La place des experts ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Estelle Magry, chargée de développement de l’association GSC animait ce webinaire, le 9 février 2021.

Entrepreneurs, chefs d’entreprise : découvrez la GSC, votre filet de sécurité en cas de perte d’emploi !

Vous êtes indépendant, gérant, mandataire social, artisan, commerçant…

Savez – vous que vous ne relevez pas de Pôle Emploi ?

Liquidation, fermeture amiable sous contrainte économique, révocation, un gilet de sauvetage existe pour vous assurer un revenu.

Comment ça marche ? Puis-je en bénéficier ? Combien ça coûte ?

Pour le découvrir, visionnez ce webinaire ici.

 

Coronavirus et entrepreneurs : tout ce qu’il faut savoir

Mise à jour le 22 juillet 2021

Coronavirus et entrepreneurs : l’association GSC met cet espace à votre disposition pour vous informer des mesures gouvernementales mises en place.

Vous êtes chef d’entreprise : artisan commerçant, entrepreneur individuel, gérant, directeur et président de SAS ou SASU…

Compte tenu de la situation actuelle provoquée par le Covid-19, que devez-vous mettre en place ?

N’hésitez pas également à vous rapprocher de votre organisation patronale, votre expert-comptable, votre banquier, votre CCI ou votre CMA.

Attestations de déplacement :

Lien pour télécharger : https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestations-de-deplacement

Numéros et sites utiles : 

  • Information Coronavirus COVID-19 : 0 800 130 000
  • Mesures d’urgence pour les entreprises : 0806 000 245, du lundi au vendredi de 9 à 12 heures puis de 13 à 16 heures
  • Cellule de soutien psychologique pour les chefs d’entreprise : 0 805 65 50 50, tous les jours de 8h à 20h – Appel et service gratuits
  • Info Coronavirus : https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus
  • Le Conseil National des Administrateurs Judiciaires et des Mandataires Judiciaires (CNAJMJ) réactive son numéro vert à partir du 23 novembre 2020. Diagnostic gratuit de votre situation et aide afin de bien comprendre et utiliser les aides gouvernementales.
    0800 94 25 64, du lundi au vendredi de 9h30 à 17h et sans rdv.
  • Greffiers des tribunaux de commerce : 01 86 86 05 78
  • Solidarité entreprises Covid – Administrateurs et mandataires judiciaires : 0 800 94 25 64
  • SOS Entrepreneurs : 06 15 24 19 77
  • BPI France : 0 969 370 240
  • Cellule de crise CCI France : 01 44 45 38 62 – de 9 h à 22 h

 

  • Pour votre entreprise (cliquez ici)
    • Prévention
    • Mesures d’urgence
    • Nouvelles mesures
    • Prêts
    • Fonds de solidarité
    • Télétravail
    • Secteur Tourisme
    • Accompagnement vers la numérisation
    • Solidarité
    • Derniers dispositifs mobilisables
    • Sortie de crise
    • Pass Sanitaire

1- Pour vous, chef d’entreprise

    • Santé

Dispositif d’indemnisation des interruptions de travail : site Ameli (Cliquez ici)
Le Conseil de la protection sociale des travailleurs indépendants (CPSTI) met en place des dispositifs et des aides pour les travailleurs indépendants affectés par la crise du coronavirus. (Cliquez ici)

Aide CPSTI RCI Covid-19

La Sécurité Sociale des Indépendants (SSI) met en place des dispositifs et des aides pour les travailleurs indépendants pour faire face à la crise du coronavirus. (Cliquez ici)

    • Droits sociaux

Le gouvernement met à disposition sur son site Mes droits Sociaux un simulateur gratuit et clair pour connaître en quelques clics votre éligibilité aux aides mises en place. L’avantage de ce simulateur, c’est qu’il est ouvert à tous les publics – salariés, travailleurs indépendants, demandeurs d’emploi, étudiants, retraités, etc. – et entièrement gratuit. (Cliquez ici)

Vous êtes affilié à la GSC 

  • Oui depuis PLUS d’un an

Vous êtes affilié à la GSC, depuis plus d’un an. La GSC peut vous indemniser en cas de perte involontaire d’emploi en fonction de la formule et durée d’indemnisation choisies (perte involontaire d’emploi, à la suite de redressement judiciaire de l’entreprise, de liquidation judiciaire, de jugement arrêtant un plan de cession. Également sous contrainte économique, notamment en cas de dissolution anticipée, de cession, de fusion absorption, ou de restructuration profonde). L’état de chômage est reconnu en cas de perte juridique du mandat social ou du statut de chef d’entreprise.

La GSC n’indemnise pas en cas de perte d’activité partielle.

Dans le cas de la fermeture « définitive » de votre entreprise et/ou de la perte de votre emploi, il faudra vous rapprocher de nos services de gestion (gscprestations@gan.fr ou au 01 70 96 75 00) afin d’obtenir votre dossier de prestation.

Les indemnités seront déclenchées après une franchise de 30 jours de chômage continu.

Enfin, pour être indemnisé, vous devez justifier de la perte involontaire d’activité professionnelle et être à la recherche d’un emploi au sens des articles L.5421-1 et suivants du Code du travail.

Depuis avril dernier, l’association GSC a mis en place un fonds social à destination de ses adhérents qui rencontreraient des difficultés financières ne leur permettant plus de faire face à leurs charges personnelles.

Plus d’informations sur : https://www.gsc.asso.fr/fonds-social-lassociation-gsc-soutient-ses-entrepreneurs-adherents/

  • Oui depuis MOINS d’un an

Votre délai de carence d’un an n’étant pas écoulé, la GSC ne pourra malheureusement pas vous indemniser si l’évènement de perte d’emploi involontaire survenait au cours de la première année de cotisation.

Vous n’êtes pas affilié à la GSC

De nombreuses aides sont mis en place par l’Etat afin de venir en aide aux entrepreneurs. Vous retrouverez l’ensemble de ces aides ci-dessous.

Comme pour toute nouvelle affiliation, votre dossier sera étudié après réception des éléments demandés, notamment des informations concernant la santé économique de votre société.

Une fois votre contrat accepté, il faudra compter un an de carence.

Si vous souhaitez vous affilier à la GSC, vous pouvez contacter l’association GSC au 01 45 72 63 10 ou à l’adresse mail suivante : contact@gsc.asso.fr, ou bien contacter votre courtier ou votre agent d’assurance.

2- Pour vos salariés 

    • Santé

Dispositif d’indemnisation des interruptions de travail : site Ameli (Cliquez ici)

Protocole National pour assurer la santé et la sécurité des salariés (Cliquez ici)

Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de COVID 19

Plus d’informations (Cliquez ici)

    • Arrêt de travail simplifié

Pour les salariés contraints de garder leurs enfants (Cliquez ici)

    • Activité partielle

Prise en charge à 100% de l’activité partielle par l’Etat pour les entreprises de l’évènementiel, de la culture, des opérateurs de voyage et de séjour et du sport (Cliquez ici)

Activité partielle démarche employeur (Cliquez ici)
Activité partielle : nouveau dispositif (Cliquez ici)
Démarches de mise en activité partielle (Cliquez ici)

La prolongation de la crise sanitaire contraint le gouvernement à reconduire certaines mesures d’urgence.

3 – Pour votre entreprise

    • Télétravail

Mise en place (Cliquez ici)

Aides pour réussir sa mise en place (Cliquez ici)

 

    • Prévention

L’objectif de la Prévention COVID est de réduire significativement l’exposition des salariés au coronavirus avec la mise en place de mesures barrières et de distanciation physique et de mesures d’hygiène et de nettoyage. (Cliquez ici)

Mesures de prévention dans l’entreprise contre la COVID 19 (Cliquez ici

    • Mesures d’urgence

Les mesures d’urgence proposées par le gouvernement (Cliquez ici)

Plus d’informations sur : https://www.economie.gouv.fr/bruno-le-maire-presente-mesures-urgence-economiques

    • Nouvelles mesures

Mesures exceptionnelles (Cliquez ici)

Nouvelles mesures de soutien pour les entreprises impactées par les nouvelles restrictions d’accueil au public (Cliquez ici)

    • Prêts

Les prêts garantis par l’Etat étaient disponibles initialement, jusqu’au 31 décembre 2020.

Ils seront accessibles désormais jusqu’au 30 juin 2021. (Cliquez ici)

De nouvelles mesures annoncées pour les prêts garantis par l’Etat (Cliquez ici)

Que faire en cas de refus d’un prêt garanti par l’Etat ? (Cliquez ici)

    • Fonds de solidarité

Ce fonds s’adresse aux commerçants, artisans, professions libérales et autres agents économiques, quel que soit leur statut (société, entrepreneur individuel, association…) et leur régime fiscal et social (y compris micro-entrepreneurs), ayant au plus 50 salariés.

Les entreprises ont fait l’objet d’une interdiction d’accueil du public intervenue entre le 25 septembre 2020 et le 30 novembre 2020 OU elles ont subi une perte de chiffre d’affaires d’au moins 50 % au cours de la période mensuelle entre le 1er octobre 2020 et le 30 novembre 2020. (Cliquez ici)

Fonds de solidarité pour les entreprises, indépendants, entrepreneurs (Cliquez ici)

Évolution du fonds de solidarité au 1er décembre 2020 (Cliquez ici)

Quel montant ? (Cliquez ici)Comment en bénéficier ? (Cliquez ici)

Fonds de solidarité : mise en ligne du nouveau formulaire pour le mois de décembre (Cliquez ici)
Fonds de solidarité : mise en ligne du nouveau formulaire pour le mois de janvier (Cliquez ici)
    • ESS : ouverture du guichet unique UrgencESS pour les structures de moins de 10 salariés 

Le fonds UrgencESS est désormais pleinement opérationnel. Doté de 30 millions d’euros, le fonds UrgencESS, voté dans le cadre du 4ème projet de loi de finances rectificative pour 2020 au mois de novembre dernier, est désormais pleinement opérationnel. Il est déployé depuis le 22 janvier 2021. (Cliquez ici)

 

Mesures d’urgence pour les secteurs en sous-activité prolongée (événementiel, hôtellerie, discothèques, salles de sport, traiteurs, voyagistes)(Cliquez ici)

    • Secteur Tourisme

Une plateforme a été mise en place par le ministère de l’Économie et des Finances et de l’Action et des Comptes publics, Bpifrance, la Banque des Territoires et les Régions de France, pour les entreprises dans le secteur du tourisme afin de leur donner connaissance des aides auxquelles elles peuvent être éligibles. (Cliquez ici)

Mesures de financement en fonds propres moyen et long terme pour le tourisme (Cliquez ici)

    • Accompagnement vers la numérisation

Des solutions numériques gratuites pour permettre le développement d’une activité en ligne pendant le confinement. (Cliquez ici)

Le Chèque France Num (Cliquez ici)

    • Solidarité

Le Conseil National des Administrateurs Judiciaires et des Mandataires Judiciaires (CNAJMJ) propose un diagnostic gratuit de la situation de votre entreprise afin de prendre les bonnes décisions. Il s’agit d’un diagnostic sous la forme d’un entretien confidentiel, de 30 à 45 minutes, sans prise de rendez-vous. (Cliquez ici)

 

Pour toutes les questions concernant votre entreprise et le coronavirus: https://info-entreprises-covid19.economie.gouv.fr/kb/des-points-de-contact-8342

Info Coronavirus : https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus

SOS Entreprise Coronavirus : https://sos-entreprises-coronavirus.fr/

  • Sortie de crise : les aides pour les entreprises en situation de fragilité