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Hauts-de-France : Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

Dans la région Hauts-de-France 3 881 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

L’association GSC et la société Altares, dévoilent la troisième vague des chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 3 881 femmes et hommes entrepreneurs en situation de chômage en 2018, la région Hauts-de-France représente près de 8% des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. En Hauts-de-France le nombre de dirigeants impactés est supérieur à celui de l’an passé, une situation intolérable pour l’association GSC car nombre d’entre eux ne disposent d’aucune protection sociale « chômage ».

Hauts-de-France : des résultats contrastés sur le territoire

Dans la région des hauts-de-France, 3881 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi en 2018, un chiffre en légère augmentation (0,4%) par rapport à 2017.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« 3 881, ce chiffre est insoutenable ! Les chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi ne sont pas pris en charge par Pôle emploi et ne bénéficient d’aucune protection chômage. Pour éviter une catastrophe financière, les dirigeants peuvent prendre une assurance volontaire. Encore faut-il qu’ils sachent que cette dernière existe et qu’elle joue le même rôle que les allocations Pôle emploi pour les salariés. La mobilisation de l’ensemble des acteurs de la région est indispensable pour sensibiliser les entrepreneurs aux conséquences de la perte d’emploi. C’est une nécessité sociale et économique. »

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en hausse dans trois des cinq départements du territoire.  Dans la Somme, 299 chefs d’entreprises ont ainsi perdu leur emploi en 2018, soit 17,7% de plus qu’en 2017. Le Pas-de-Calais voit également la situation se dégrader avec une augmentation de 6,8 % entre 2017 et 2018 avec 926 entrepreneurs impactés. Dans une moindre mesure, l’Aisne connaît une légère hausse (+0,9% soit 325 chefs d’entreprise concernés en 2018).

Les entrepreneurs du département de l’Oise sont moins impactés par la perte d’emploi qu’en 2017 (448 concernés soit 10,8% de moins que l’an passé). Avec 1883 chefs d’entreprise touchés, le Nord enregistre quant à lui une baisse de 2%.

53% des entreprises des Hauts-de-France, impactées par la perte d’emploi de leur dirigeant, comptaient un ou deux salariés. A noter que l‘âge médian des dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi sur le territoire est de 45,2 ans pour 2018 (46 ans sur l’ensemble de la France).

Comme en 2017, les secteurs de la construction, du commerce et de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentrent à eux trois plus de la moitié des pertes d’emploi de la région Hauts-de-France (65,6%) avec cependant des situations contrastées dans les évolutions de ces secteurs. Si les activités du commerce demeurent les plus durement frappées avec 991 entrepreneurs en situation de chômage en 2018, on note une baisse significative par rapport à 2017 (-8,2%). A l’inverse, les chefs d’entreprises de la construction sont davantage impactés que l’an passé avec une hausse de 12% soit 934 personnes concernées, dont 88% exerçaient dans le domaine du bâtiment. Le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentre quant à lui 619 des pertes d’emploi de dirigeants. Parmi ces commerçants, 69% des pertes d’emploi concernent la restauration.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage en France reste toujours trop élevé

La baisse entamée il y a trois ans connaît un ralentissement. En 2018, 50 185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un nombre stable (+0,3%) par rapport à 2017.

L’âge médian des dirigeants d’entreprises impactés est de 46 ans. Plus du tiers (35,8%) des dirigeants touchés par la perte de leur emploi en 2018 a plus de 50 ans. On pourrait s’attendre à ce que les entrepreneurs plus expérimentés soient mieux préparés aux aléas. Mais aujourd’hui, le modèle économique doit être sans cesse repensé sous peine de fragiliser l’entreprise. Cette nécessaire agilité n’est pas toujours aussi bien ancrée chez les quinquagénaires qui pilotent leur entreprise depuis longtemps que chez les jeunes. Or si un changement de parcours reste tout à fait envisageable pour les dirigeants de moins de 26 ans, la situation s’avère bien plus délicate pour leurs aînés de plus de 50 ans.

L’ensemble du territoire français en tension

Près de la moitié des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile de France (23%), la région Auvergne Rhône Alpes (12%) et PACA (10%). La majorité des régions françaises (9 sur 13) est impactée par la hausse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les territoires les plus touchés sont l’Ile-de-France (+7,3%), l’Outre-mer (+4,6%) et les Pays de la Loire (+4,2%). À contrario, les régions Provence Alpes Côte d’Azur (-7%), Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées (-5,3%) et Bretagne (-4,8) enregistrent un recul significatif laissant apparaître des inégalités territoriales fortes.

« Plus de 690 000 nouvelles entreprises ont été créées en 2018, dont près de la moitié en micro-entreprises ; un record ! Tous ces paris entrepreneuriaux sont portés, avant tout, par des énergies humaines capables de mobiliser des ressources autour d’un projet. Ces chefs d’entreprises acceptent alors de prendre un risque financier professionnel. Beaucoup, cependant, négligent, voire oublient, d’autres risques, plus personnels parfois. Il en est ainsi de l’assurance perte d’emploi souvent reléguée au second plan. Pourtant en 2019 les défaillances d’entreprises devraient repartir à la hausse, et les dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi être toujours plus nombreux ! » commente Charles Battista Directeur Altares

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 300 millions d’entreprises dans 220 pays.

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

Auvergne-Rhône-Alpes: 6 028 dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

En Auvergne-Rhône-Alpes, 6 028 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

L’association GSC et la société Altares, dévoilent la troisième vague des chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 6 028 femmes et hommes entrepreneurs en situation de chômage en 2018, l’Auvergne-Rhône-Alpes représente 12% des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. Si le nombre de dirigeants impactés est inférieur à celui de l’an passé, il demeure intolérable pour l’association GSC car nombre d’entre eux ne disposent d’aucune protection sociale « chômage ».

Auvergne-Rhône-Alpes : des résultats contrastés sur le territoire

En Auvergne-Rhône-Alpes, 6 028 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi en 2018, soit une baisse de 2,9% par rapport à 2017.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« 6 028, ce chiffre est insoutenable ! Les chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi ne sont pas pris en charge par Pôle emploi et ne bénéficient d’aucune protection chômage. Pour éviter une catastrophe financière, les dirigeants peuvent prendre une assurance volontaire. Encore faut-il qu’ils sachent que cette dernière existe et qu’elle joue le même rôle que les allocations Pôle emploi pour les salariés. La mobilisation de l’ensemble des acteurs de la région est indispensable pour sensibiliser les entrepreneurs aux conséquences de la perte d’emploi. C’est une nécessité sociale et économique. »

Si le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse dans les trois quarts des départements, certains territoires se trouvent plus impactés. Dans l’Allier, 205 chefs d’entreprises ont ainsi perdu leur emploi en 2018, soit 13,3% de plus qu’en 2017. Le Puy du Dôme voit également la situation se dégrader avec une augmentation de 9,7 % entre 2017 et 2018. Dans une moindre mesure, le Cantal connaît une légère hausse (+1,3%). A noter que la Haute-Loire est le seul département à connaître une stabilité entre les deux années.

Sur les douze départements qui constituent la région Auvergne-Rhône-Alpes, sept enregistrent tout de même une baisse. L’Isère connaît la plus nette amélioration, le nombre de dirigeants d’entreprise ayant perdu leur emploi en 2018 retombe à 1 017 soit 13,2% de moins qu’en 2017. Le département de la Savoie affiche une diminution de 6,5% au regard de l’année 2017. Il est suivi par le Rhône avec 1 524 chefs d’entreprise impactés soit une baisse de 4,1%. L’Ain, avec 377 entrepreneurs en situation de chômage en 2018 enregistre quant à lui une baisse de 3,3%. Trois départements affichent un recul moins important : l’Ardèche (-1%), la Loire (-1,3%) et de la Drôme (-1,5%).

Près de 54% des entreprises d’Auvergne-Rhône-Alpes, impactées par la perte d’emploi de leur dirigeant, comptaient un ou deux salariés. L’âge médian des dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi sur le territoire est de 45,4 ans pour 2018 (46 ans sur l’ensemble de la France).

Comme en 2017, les secteurs de la construction, du commerce et de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentrent à eux trois plus de la moitié des pertes d’emploi de la région Auvergne-Rhône-Alpes (65,5%). Le secteur de la construction est le plus impacté avec 1 532 entrepreneurs en situation de chômage en 2018 dont 1 289 exerçant dans le domaine du bâtiment. Il est suivi par celui du commerce avec 1 401 chefs d’entreprise touchés. Le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentre 1014 des pertes d’emploi de dirigeants. Parmi ces commerçants, 665 pertes d’emploi concernent la restauration. L’industrie semble plus épargnée avec près un recul de près de 12% du nombre d’entrepreneurs impactés.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage en France reste toujours trop élevé

La baisse entamée il y a trois ans connaît un ralentissement. En 2018, 50 185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un nombre stable (+0,3%) par rapport à 2017. Plus du tiers (35,8%) des dirigeants touchés par la perte de leur emploi en 2018 a plus de 50 ans. On pourrait s’attendre à ce que les entrepreneurs plus expérimentés soient mieux préparés aux aléas. Mais aujourd’hui, le modèle économique doit être sans cesse repensé sous peine de fragiliser l’entreprise. Cette nécessaire agilité n’est pas toujours aussi bien ancrée chez les quinquagénaires qui pilotent leur entreprise depuis longtemps que chez les jeunes. Or si un changement de parcours reste tout à fait envisageable pour les dirigeants de moins de 26 ans, la situation s’avère bien plus délicate pour leurs aînés de plus de 50 ans.

L’ensemble du territoire français en tension

Près de la moitié des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile de France (23%), la région Auvergne-Rhône-Alpes (12%) et PACA (10%). La majorité des régions françaises (9 sur 13) est impactée par la hausse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les territoires les plus touchés sont l’Ile-de-France (+7,3%), l’Outre-mer (+4,6%) et les Pays de la Loire (+4,2%). À contrario, les régions Provence Alpes Côte d’Azur (-7%), Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées (-5,3%) et Bretagne (-4,8) enregistrent un recul significatif laissant apparaître des inégalités territoriales fortes.

« Plus de 690 000 nouvelles entreprises ont été créées en 2018, dont près de la moitié en micro-entreprises ; un record ! Tous ces paris entrepreneuriaux sont portés, avant tout, par des énergies humaines capables de mobiliser des ressources autour d’un projet. Ces chefs d’entreprises acceptent alors de prendre un risque financier professionnel. Beaucoup, cependant, négligent, voire oublient, d’autres risques, plus personnels parfois. Il en est ainsi de l’assurance perte d’emploi souvent reléguée au second plan. Pourtant en 2019 les défaillances d’entreprises devraient repartir à la hausse, et les dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi être toujours plus nombreux ! » commente Charles Battista Directeur Altares

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 300 millions d’entreprises dans 220 pays.

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

50 185 dirigeants ont perdu leur emploi en 2018

L’association GSC et la société Altares dévoilent pour la troisième année consécutive les chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Cette nouvelle édition révèle que le nombre d’entrepreneurs ayant perdu leur emploi reste stable en 2018, à un niveau encore dramatiquement élevé pour l’économie française.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage toujours trop élevé

La baisse entamée il y a trois ans connait un ralentissement. En 2018, 50 185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un nombre stable (+0,3%) par rapport à 2017.

L’âge médian des dirigeants d’entreprises impactés est de 46 ans. Un dirigeant sur dix en situation de perte d’emploi a moins de 30 ans et les chiffres montrent une progression de 6,7% en 2018 du « chômage » chez les entrepreneurs de moins de 26 ans. Cette augmentation significative s’explique en partie par une dynamique forte de création d’entreprises depuis deux ans chez les jeunes.

Plus du tiers (35,8%) des dirigeants touchés par la perte de leur emploi en 2018 a plus de 50 ans. On pourrait s’attendre à ce que les entrepreneurs plus expérimentés soient mieux préparés aux aléas. Mais aujourd’hui, le modèle économique doit être sans cesse repensé sous peine de fragiliser l’entreprise. Cette nécessaire agilité n’est pas toujours aussi bien ancrée chez les quinquagénaires qui pilotent leur entreprise depuis longtemps que chez les jeunes.

Or si un changement de parcours reste tout à fait envisageable pour les dirigeants de moins de 26 ans, la situation s’avère bien plus délicate pour leurs aînés de plus de 50 ans.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC

« 50 185, ce chiffre est insoutenable ! La mobilisation de l’ensemble des acteurs est indispensable pour sensibiliser les entrepreneurs aux conséquences de la perte d’emploi. Tous ceux qui accompagnent quotidiennement les chefs d’entreprise doivent les informer au moins une fois par an des risques de perte d’emploi et des solutions existantes. Le coup de frein de la croissance en France et en Europe doit nous amener à beaucoup de prudence et d’anticipation pour les mois qui viennent. Doit-on attendre de voir encore davantage de nos entrepreneurs sans emploi ? Il est impératif de les informer qu’ils peuvent et doivent se protéger. C’est une nécessité sociale et économique. »

Les gérants des petites entreprises plus fortement touchés

75% des dirigeants en situation de perte d’emploi employaient moins de 3 salariés, en hausse de 1,5% sur un an.

Ce sont encore une fois les artisans, les commerçants, les gérants de TPE qui sont les plus impactés. 6 650 artisans-commerçants ont perdu leur emploi en 2018. Ce nombre est certes en baisse mais reste à un niveau élevé ; tout comme celui des professions libérales, avec 1 050 entrepreneurs au chômage (en hausse de 1,6%).

Les gérants de SARL, avec 27 919 sans emploi, forment l’essentiel des pertes (en baisse de -5,7%).
11 958 autres dirigeants étaient à la tête d’une SAS Cette hausse de 28,1% par rapport à l’an passé s’explique notamment par l’augmentation des créations d’entreprise sous ce statut juridique depuis trois ans.

17 359 des entrepreneurs concernés se trouvaient à la tête d’une société dont le chiffre d’affaires était inférieur à 500 000 euros, confirmant ainsi que les petites structures sont les plus vulnérables.

« Plus de 690 000 nouvelles entreprises ont été créées en 2018, dont près de la moitié en micro-entreprises ; un record ! Tous ces paris entrepreneuriaux sont portés, avant tout, par des énergies humaines capables de mobiliser des ressources autour d’un projet. Ces chefs d’entreprises acceptent alors de prendre un risque financier professionnel. Beaucoup, cependant, négligent, voire oublient, d’autres risques, plus personnels parfois. Il en est ainsi de l’assurance perte d’emploi souvent reléguée au second plan. Pourtant en 2019 les défaillances d’entreprises devraient repartir à la hausse, et les dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi être toujours plus nombreux ! » commente Charles Battista Directeur Altares

L’ensemble du territoire français en tension

Près de la moitié des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile de France (23%), la région Auvergne Rhône Alpes (12%) et PACA (10%). La majorité des régions françaises (9 sur 13) est impactée par la hausse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les territoires les plus touchés sont l’Ile-de-France (+7,3%), l’Outre-mer (+4,6%) et les Pays de la Loire (+4,2%). À contrario, les régions Provence Alpes Côte d’Azur (-7%), Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées (-5,3%) et Bretagne (-4,8) enregistrent un recul significatif laissant apparaître des inégalités territoriales fortes.

Les activités en lien avec les consommateurs particulièrement exposées.

Les entrepreneurs du bâtiment (25%) et du commerce (23%) représentent toujours la moitié des pertes d’emploi malgré une légère baisse (-1,6% et -2,1%). Les dirigeants exerçant dans les professions en contact direct avec les consommateurs et dont l’activité n’est pas aisément transformable sont les plus exposés. En particulier, 1 051 boulangers et pâtissiers, 5 253 restaurateurs, et 879 coiffeurs ont perdu leur emploi.

Les entrepreneurs du secteur du transport routier de voyageurs connaissent un niveau très élevé de perte d’emploi et en particulier les taxis et VTC avec 472 entrepreneurs sans emploi (+66,8%).

Les secteurs juridiques et comptables subissent également une augmentation significative de 30,3% avec une hausse marquée pour les structures spécialisées dans le domaine juridique.

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Nouvelle-Aquitaine : Observatoire de l’emploi des entrepreneurs 2018

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

En Nouvelle-Aquitaine, 3 871 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2017

Alors que le gouvernement a statué sur l’indemnisation allouée aux indépendants en situation de perte d’emploi, l’association GSC « assurance perte d’emploi des dirigeants et entrepreneurs » et la société Altares, experte en data entreprises, dévoilent la deuxième vague de chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneursAvec 3 871 entrepreneurs en situation de chômage en 2017, la Nouvelle-Aquitaine représente 8 % des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. Cependant, la région apparaît comme un territoire contrasté avec des écarts importants suivant les départements.

 Nouvelle-Aquitaine: un territoire contrasté

En Nouvelle-Aquitaine ce sont 3 871 entrepreneurs qui se sont trouvés en situation de chômage en 2017, soit 6,8 % de moins que l’année précédente, où ils étaient 4 153 à avoir perdu leur emploi à la suite d’une liquidation judiciaire.

Si le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse dans la majeure partie des départements, d’autres se trouvent plus impactés. La Charente enregistre la plus forte augmentation avec 227 chefs d’entreprise en situation de perte d’emploi, soit 10,2 % de plus qu’en 2016. Ce département est suivi par celui de la Corrèze qui, avec ses 173 entrepreneurs en situation de chômage, connaît une augmentation de 7,5 %. Dans une moindre mesure, la Dordogne (+0,7 % soit 297 chefs d’entreprise) connait une légère hausse.

Sur les douze départements qui constituent la région Nouvelle-Aquitaine, neuf enregistrent une baisse. On observe une amélioration nette dans les départements de la Creuse (-25,4 % soit 53 dirigeants) et de la Charente-Maritime (-21,8 % soit 408 chefs d’entreprise). La Haute-Vienne, avec 247 entrepreneurs en situation de chômage en 2017 contre 301 en 2016, enregistre quant à elle une baisse de 17,9 %. La Vienne connaît une baisse de 10,4 % et retombe à 225 entrepreneurs en situation de chômage, contre 251 l’année précédente.

Dans les Deux-Sèvres 175 dirigeants ont perdu leur emploi en 2017 ; un chiffre en baisse de 9,3 % par rapport à 2016. Le département des Landes connaît une baisse de 9 % et retombe à 262 entrepreneurs en situation de chômage, contre 288 l’année précédente.

Deux départements affichent des baisses moins importantes : la Gironde (-4,4 % soit 1 148 dirigeants touchés), les Pyrénées-Atlantiques (-1,8 % soit 434 chefs d’entreprises). Dans le Lot-et-Garonne, le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ne varie pas, et se stabilise à 222 dirigeants

En Nouvelle Aquitaine, trois secteurs sont particulièrement impactés, dont celui du commerce, qui avec 967 entrepreneurs en situation de chômage, représente presque un quart des pertes d’emploi de la région. Parmi ces commerçants, ceux œuvrant dans la réparation et le commerce de véhicules sont les plus impactés (151 dirigeants touchés), suivi par le commerce de détail alimentaire (113 personnes) et le commerce d’habillement (96 chefs d’entreprise concernés).

Le secteur du commerce est suivi par celui de la construction qui concentre à lui seul 949 pertes d’emploi (dont 817 imputées au bâtiment). Autre secteur touché, celui de l’hébergement, restauration et débits de boisson, avec 587 dirigeants touchés, et parmi eux, 75 % travaillaient dans la restauration.

Au national le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse mais reste élevé

Des résultats qui s’inscrivent dans une dynamique nationale à la baisse, puisque au total ce sont 50 011 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, soit 9,2 % de moins que l’année précédente. Si l’âge médian de ces dirigeants varie peu autour de 45 ans, la part des quinquagénaires a tendance à légèrement augmenter. Les dirigeants âgés de plus de 50 ans représentent ainsi 35,7 % des entrepreneurs concernés en 2017. Les artisans-commerçants et gérants de TPE sont les plus impactés par la perte d’emploi. 74 % des dirigeants en situation de perte d’emploi dirigeaient une entreprise de moins de 3 salariés. Un chiffre en baisse de -7,6 % par rapport à l’année précédente. 15 % des entrepreneurs au chômage employaient entre trois et cinq salariés

Selon Elodie Warnery, Directrice Générale de l’association GSC :

« Le recul du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ces trois dernières années est un indicateur du dynamisme entrepreneurial français. Il est encourageant pour l’avenir. Cependant, le risque d’être confronté à une perte d’emploi n’est pas le même suivant le secteur, la région et la taille des entreprises. Et dans tous les cas, l’entrepreneur doit faire preuve d’agilité et de vigilance face aux évolutions de son marché, aux adaptations nécessitées par le mouvement permanent de son environnement économique, social et juridique. Lorsqu’un homme ou une femme perd son entreprise et par là même son emploi, il n’est pas juste question de perte de revenu mais de perspectives d’avenir pour lui et sa famille. Il y a là une problématique sociale. » 

La majorité des régions françaises est concernée ; le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi est en baisse dans douze régions sur treize. Pour autant la réalité des territoires apparait plus complexe. Si l’année précédente, sept régions sur treize enregistraient une baisse supérieure ou égale à 10 %, les résultats 2017 sont très contrastés. Les régions du Grand Est (-12,6 %) et des Hauts de France (-11 %) connaissent une nette amélioration tandis que les pertes d’emploi de dirigeants ont légèrement augmenté en Provence Alpes Côte d’Azur (+0,4 %). Pour huit régions sur treize, la baisse est inférieure à 7 %.

« Les créations d’entreprises sont au plus haut depuis le début de la décennie, les défaillances d’entreprises au plus bas sur dix ans, la France recolle au peloton de tête des économies dynamiques. Pourtant, cette embellie oublie une autre réalité. Alors qu’ils lancent des entreprises, inventent le business de demain, et créent des emplois, les entrepreneurs peuvent chaque jour être confrontés à leur propre « chômage ». 50 000 chefs d’entreprises ont été placés devant cette difficulté en 2017 après la liquidation judiciaire de leur entreprise. Oser le risque est l’ADN de chaque entrepreneur et c’est un moteur pour l’économie mais cela ne peut se concevoir sans un filet de sécurité. » commente Charles Battista, Directeur de la Communication et des relations externes Altares.

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Acteur de premier plan de la Data Economy, Altares valorise le patrimoine Data des entreprises en le transformant en performance économique. Partenaire de confiance indépendant, Altares fournit, collecte, analyse et enrichit les données afin de les rendre « intelligentes » et d’en faire un outil décisionnel agile pour les Directions Générales et opérationnelles des entreprises. Dans un monde où la technologie accélère de façon exponentielle (IA, objets connectés, blockchain, programmatique) mais où l’intuition humaine n’a jamais été aussi utile, le groupe propose son expertise sur toute la chaine de valeur de la data.

Partenaire exclusif en France de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI et PME en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 280 millions d’entreprises dans 220 pays. Avec l’acquisition récente de D&B Benelux, le groupe compte désormais 420 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de plus de 115 millions d’euros.

 

Contacts presse

Agence CorioLink

Amélie Lebreton

amelie.lebreton@coriolink.com – 06 70 60 25 30

Pauline Wathelet

pauline.wathelet@coriolink.com – 06 47 40 21 60

Grand-Est : Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

Dans le Grand Est, 3 586 dirigeants ont perdu leur emploi en 2017

Alors que le gouvernement a statué sur l’indemnisation allouée aux indépendants en situation de perte d’emploi, l’association GSC « assurance perte d’emploi des dirigeants et entrepreneurs » et la société Altares, experte en data entreprises, dévoilent la deuxième vague de chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 3 586 entrepreneurs en situation de chômage en 2017, le Grand Est représente 7,5 % des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. Cependant, la région apparaît comme un territoire contrasté avec des écarts importants suivant les départements.

Grand Est : Amélioration sur tout le territoire

Dans le Grand Est ce sont 3 586 entrepreneurs qui se sont trouvés en situation de chômage en 2017, soit 12,6 % de moins que l’année précédente, où ils étaient 4 103 à avoir perdu leur emploi à la suite d’une liquidation judiciaire. L’ensemble des départements a profité de l’amélioration, tous enregistrent une baisse du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage.

Sur les dix départements qui constituent le territoire, la moitié enregistre une baisse supérieure à 15 %. Les Ardennes connaissent la plus forte baisse avec 156 chefs d’entreprise en situation de perte d’emploi, soit 21,6 % de moins qu’en 2017. Ce département est suivi par celui du Haut-Rhin qui dénombre 516 entrepreneurs en situation de chômage, soit une baisse de 20,5 %. On observe également une amélioration nette dans les départements de la Haute-Marne (96 dirigeants soit -20 %), de l’Aube (155 chefs d’entreprise soit -18,8 %) et de la Moselle (680 chefs d’entreprise soit -15,9 %).

Le Bas-Rhin, avec 848 entrepreneurs en situation de chômage en 2017 contre 947 en 2016, enregistre quant à lui une baisse de 10,5 %. La Meuse connaît une baisse de 12,2 % et voit 86 entrepreneurs impactés, contre 98 l’année précédente.

Trois départements affichent des baisses moins importantes : les Vosges (263 dirigeants touchés soit -5,7 %), la Marne (336 chefs d’entreprise soit -3,2 %) et la Meurthe-et-Moselle (450 personnes soit -3 %).

Dans le Grand Est, trois secteurs sont particulièrement impactés dont celui du commerce, qui avec 915 entrepreneurs en situation de chômage, représente 25,5 % des pertes d’emploi de la région. Parmi ces commerçants, ceux œuvrant dans la réparation et le commerce de véhicules paraissent les plus impactés (170 dirigeants touchés), suivi par le commerce de détail alimentaire (108 chefs d’entreprise concernés) et le commerce d’habillement (96 personnes). Il est suivi par celui de la construction qui concentre à lui seul 869 pertes d’emploi (dont 757 imputées au bâtiment).

Autre secteur touché, celui de l’hébergement, restauration et débits de boisson, avec 528 dirigeants en situation de perte d’emploi, et parmi eux, 77 % travaillaient dans la restauration.

Selon Thierry Millon, directeur des études d’Altares :

« La région Grand-Est qui se situait aux environs de 3500 procédures collectives par an jusqu’en 2007, a franchi le cap des 4000 jugements annuels à partir de 2008 et établi un record au-delà de 5000 défaillances en 2014. Depuis, la situation s’améliore et en 2017 la région est revenue proche des 4000 procédures retrouvant ainsi son niveau de 2008. Moins de dépôts de bilan c’est moins d’emplois menacés pour les salariés mais aussi pour les chefs d’entreprises. Et la baisse de la sinistralité reste dynamique en ce début 2018,; Le premier trimestre s’inscrit en amélioration très nette (-12%). »

Au national le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse mais reste élevé

Des résultats qui s’inscrivent dans une dynamique nationale à la baisse, puisque au total ce sont 50 011 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, soit 9,2 % de moins que l’année précédente. Si l’âge médian de ces dirigeants varie peu autour de 45 ans, la part des quinquagénaires a tendance à légèrement augmenter. Les dirigeants âgés de plus de 50 ans représentent ainsi 35,7 % des entrepreneurs concernés en 2017. Les artisans-commerçants et gérants de TPE sont les plus impactés par la perte d’emploi. 74 % des dirigeants en situation de perte d’emploi dirigeaient une entreprise de moins de 3 salariés. Un chiffre en baisse de -7,6 % par rapport à l’année précédente. 15 % des entrepreneurs au chômage employaient entre trois et cinq salariés.

Selon Elodie Warnery, Directrice Générale de l’association GSC :

« Le recul du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ces trois dernières années est un indicateur du dynamisme entrepreneurial français. Il est encourageant pour l’avenir. Cependant, le risque d’être confronté à une perte d’emploi n’est pas le même suivant le secteur, la région et la taille des entreprises. Et dans tous les cas, l’entrepreneur doit faire preuve d’agilité et de vigilance face aux évolutions de son marché, aux adaptations nécessitées par le mouvement permanent de son environnement économique, social et juridique. Lorsqu’un homme ou une femme perd son entreprise et par là même son emploi, il n’est pas juste question de perte de revenu mais de perspectives d’avenir pour lui et sa famille. Il y a là une problématique sociale. »

La majorité des régions françaises est concernée ; le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi est en baisse dans douze régions sur treize. Pour autant la réalité des territoires apparait plus complexe. Si l’année précédente, sept régions sur treize enregistraient une baisse supérieure ou égale à 10 %, les résultats 2017 sont très contrastés. Les régions du Grand Est (-12,6 %) et des Hauts de France (-11 %) connaissent une nette amélioration tandis que les pertes d’emploi de dirigeants ont légèrement augmenté en Provence Alpes Côte d’Azur (+0,4 %). Pour huit régions sur treize, la baisse est inférieure à 7 %.

« Les créations d’entreprises sont au plus haut depuis le début de la décennie, les défaillances d’entreprises au plus bas sur dix ans, la France recolle au peloton de tête des économies dynamiques. Pourtant, cette embellie oublie une autre réalité. Alors qu’ils lancent des entreprises, inventent le business de demain, et créent des emplois, les entrepreneurs peuvent chaque jour être confrontés à leur propre « chômage ». 50 000 chefs d’entreprises ont été placés devant cette difficulté en 2017 après la liquidation judiciaire de leur entreprise. Oser le risque est l’ADN de chaque entrepreneur et c’est un moteur pour l’économie mais cela ne peut se concevoir sans un filet de sécurité. » commente Charles Battista, Directeur de la Communication et des relations externes Altares.

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Acteur de premier plan de la Data Economy, Altares valorise le patrimoine Data des entreprises en le transformant en performance économique. Partenaire de confiance indépendant, Altares fournit, collecte, analyse et enrichit les données afin de les rendre « intelligentes » et d’en faire un outil décisionnel agile pour les Directions Générales et opérationnelles des entreprises. Dans un monde où la technologie accélère de façon exponentielle (IA, objets connectés, blockchain, programmatique) mais où l’intuition humaine n’a jamais été aussi utile, le groupe propose son expertise sur toute la chaine de valeur de la data.

Partenaire exclusif en France de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI et PME en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 280 millions d’entreprises dans 220 pays. Avec l’acquisition récente de D&B Benelux, le groupe compte désormais 420 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de plus de 115 millions d’euros

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

Provence-Alpes-Côte-D’azur : Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

En Provence-Alpes-Côte-D’azur, 5 177 dirigeants ont perdu leur emploi en 2017

Alors que le gouvernement a statué sur l’indemnisation allouée aux indépendants en situation de perte d’emploi, l’association GSC « assurance perte d’emploi des dirigeants et entrepreneurs » et la société Altares, experte en data entreprises, dévoilent la deuxième vague de chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 5 177 entrepreneurs en situation de chômage en 2017, la Provence-Alpes-Côte-D’azur représente 10,8 % des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. Cependant, la région apparaît comme un territoire contrasté avec des écarts importants suivant les départements.

Provence-Alpes-Côte-D’azur : un territoire contrasté

En Provence-Alpes-Côte-D’azur ce sont 5 177 entrepreneurs qui se sont retrouvés en situation de chômage en 2017, soit 0,4 % de plus que l’année précédente, où ils étaient 5 154 à avoir perdu leur emploi à la suite d’une liquidation judiciaire.

Si une majorité de départements connaît une baisse, d’autres sont plus impactés, les Bouches-du-Rhône enregistrent la plus forte augmentation avec 2 040 chefs d’entreprise en situation de perte d’emploi, soit 6,3 % de plus qu’en 2016, où ils étaient 1 920 à avoir perdu leur emploi. Dans une moindre mesure, le département des Alpes-Maritimes (+3,1 % soit 1 386 dirigeants) connait une légère hausse.

Sur les six départements qui constituent la région Provence-Alpes-Côte-D’azur, plus de la moitié enregistrent tout de même une baisse. On observe une amélioration nette dans les départements des Alpes-de-Haute-Provence (-14,6 % soit 111 dirigeants) et des Hautes-Alpes (-12,4 % soit 113 chefs d’entreprise). Le Vaucluse connaît une baisse de 6,2 % et retombe à 484 entrepreneurs en situation de chômage, contre 516 l’année précédente. Le Var, avec 1 043 entrepreneurs en situation de chômage en 2017 contre 1 115 en 2016, enregistre quant à lui une baisse de 6,5 %.

En Provence-Alpes-Côte-D’azur, trois secteurs sont particulièrement impactés, dont celui de la construction qui concentre à lui seul 1 420 pertes d’emploi (dont 1 218 imputées au bâtiment). Il est suivi par le secteur du commerce, qui avec 1 237 entrepreneurs en situation de chômage, représente 24 % des pertes d’emploi de la région. Parmi ces commerçants, ceux œuvrant dans la réparation et le commerce de véhicules paraissent les plus impactés (202 dirigeants touchés), suivi par le commerce de détail alimentaire (153 chefs d’entreprise concernés) et le commerce d’habillement (138 personnes). Autre secteur touché, celui de l’hébergement, restauration et débits de boisson, avec 826 dirigeants en situation de perte d’emploi, et parmi eux, 79 % travaillaient dans la restauration.

Selon Thierry Millon, directeur des études d’Altares :

« La région Provence Alpes Côte d’Azur était enfin parvenue en 2016 à redescendre sous les seuil des 6000 défaillances d’entreprises, un volume qu’elle avait largement franchi en 2008 et plus encore en 2009 (6750 procédures) avant de se stabiliser aux environ de 6500 dépôts de bilan annuels jusqu’en 2015. La courbe des liquidations judiciaires et perte d’emploi des chefs d’entreprises s’était inversée. Mais 2017 est venu rappeler qu’une hirondelle ne fait pas le printemps, les défaillances repartaient à la hausse au-delà de 6000 comme en 2008 ; l’histoire semblaient se répéter. 2018 démarre très bien avec la plus faible sinistralité des entreprises constatée depuis avant 2007. La tendance est forte, il ne s’agit plus seulement d’un signal de redressement mais bien de l’illustration d’un retour à meilleure conjoncture. »

Au national le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse mais reste élevé

Des résultats qui s’inscrivent dans une dynamique nationale à la baisse, puisque au total ce sont 50 011 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, soit 9,2 % de moins que l’année précédente. Si l’âge médian de ces dirigeants varie peu autour de 45 ans, la part des quinquagénaires a tendance à légèrement augmenter. Les dirigeants âgés de plus de 50 ans représentent ainsi 35,7 % des entrepreneurs concernés en 2017. Les artisans-commerçants et gérants de TPE sont les plus impactés par la perte d’emploi. 74 % des dirigeants en situation de perte d’emploi dirigeaient une entreprise de moins de 3 salariés. Un chiffre en baisse de -7,6 % par rapport à l’année précédente. 15 % des entrepreneurs au chômage employaient entre trois et cinq salariés.

Selon Elodie Warnery, Directrice Générale de l’association GSC :

« Le recul du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ces trois dernières années est un indicateur du dynamisme entrepreneurial français. Il est encourageant pour l’avenir. Cependant, le risque d’être confronté à une perte d’emploi n’est pas le même suivant le secteur, la région et la taille des entreprises. Et dans tous les cas, l’entrepreneur doit faire preuve d’agilité et de vigilance face aux évolutions de son marché, aux adaptations nécessitées par le mouvement permanent de son environnement économique, social et juridique. Lorsqu’un homme ou une femme perd son entreprise et par là même son emploi, il n’est pas juste question de perte de revenu mais de perspectives d’avenir pour lui et sa famille. Il y a là une problématique sociale. »

La majorité des régions françaises est concernée ; le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi est en baisse dans douze régions sur treize. Pour autant la réalité des territoires apparait plus complexe. Si l’année précédente, sept régions sur treize enregistraient une baisse supérieure ou égale à 10 %, les résultats 2017 sont très contrastés. Les régions du Grand Est (-12,6 %) et des Hauts de France (-11 %) connaissent une nette amélioration tandis que les pertes d’emploi de dirigeants ont légèrement augmenté en Provence Alpes Côte d’Azur (+0,4 %). Pour huit régions sur treize, la baisse est inférieure à 7 %.

« Les créations d’entreprises sont au plus haut depuis le début de la décennie, les défaillances d’entreprises au plus bas sur dix ans, la France recolle au peloton de tête des économies dynamiques. Pourtant, cette embellie oublie une autre réalité. Alors qu’ils lancent des entreprises, inventent le business de demain, et créent des emplois, les entrepreneurs peuvent chaque jour être confrontés à leur propre « chômage ». 50 000 chefs d’entreprises ont été placés devant cette difficulté en 2017 après la liquidation judiciaire de leur entreprise. Oser le risque est l’ADN de chaque entrepreneur et c’est un moteur pour l’économie mais cela ne peut se concevoir sans un filet de sécurité. »commente Charles Battista, Directeur de la Communication et des relations externes Altares.

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Acteur de premier plan de la Data Economy, Altares valorise le patrimoine Data des entreprises en le transformant en performance économique. Partenaire de confiance indépendant, Altares fournit, collecte, analyse et enrichit les données afin de les rendre « intelligentes » et d’en faire un outil décisionnel agile pour les Directions Générales et opérationnelles des entreprises. Dans un monde où la technologie accélère de façon exponentielle (IA, objets connectés, blockchain, programmatique) mais où l’intuition humaine n’a jamais été aussi utile, le groupe propose son expertise sur toute la chaine de valeur de la data.

Partenaire exclusif en France de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI et PME en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 280 millions d’entreprises dans 220 pays. Avec l’acquisition récente de D&B Benelux, le groupe compte désormais 420 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de plus de 115 millions d’euros

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs : 50 011 dirigeants ont perdu leur emploi en 2017

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

50 011 dirigeants ont perdu leur emploi en 2017

Alors que la mise en place d’une allocation chômage pour les travailleurs indépendants est au cœur des négociations de la réforme de l’assurance chômage, l’association GSC et la société Altares, expert en data entreprises, dévoilent la deuxième vague de chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs de l’année 2017. Une deuxième édition qui révèle une amélioration nette des chiffres de la perte d’emploi des dirigeants.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse mais reste élevé

En 2017, 50 011 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, soit 9,2 % de moins que l’année précédente. 2015 avait représenté un pic, ils étaient 59 725 à avoir connu une liquidation judiciaire, et la perte d’emploi des entrepreneurs est à la baisse depuis deux ans.

Si l’âge médian de ces dirigeants varie peu autour de 45 ans, la part des quinquagénaires a tendance à légèrement augmenter. Les dirigeants âgés de plus de 50 ans représentent ainsi 35,7 % des entrepreneurs concernés en 2017.

Selon Elodie Warnery, Directrice Générale de l’association GSC :

« Le recul du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ces trois dernières années est un indicateur du dynamisme entrepreneurial français. Il est encourageant pour l’avenir. Cependant, le risque d’être confronté à une perte d’emploi n’est pas le même suivant le secteur, la région et la taille des entreprises. Et dans tous les cas, l’entrepreneur doit faire preuve d’agilité et de vigilance face aux évolutions de son marché, aux adaptations nécessitées par le mouvement permanent de son environnement économique, social et juridique. Lorsqu’un homme ou une femme perd son entreprise et par là même son emploi, il n’est pas juste question de perte de revenu mais de perspectives d’avenir pour lui et sa famille. Il y a là une problématique sociale. »

Les gérants de petites entreprises plus fortement touchés

Les artisans-commerçants et gérants de TPE sont les plus impactés par la perte d’emploi. 74 % des dirigeants en situation de perte d’emploi dirigeaient une entreprise de moins de 3 salariés. Un chiffre en baisse de -7,6 % par rapport à l’année précédente. 15 % des entrepreneurs au chômage employaient entre trois et cinq salariés.

S’agissant du statut juridique, on observe que ces entrepreneurs exerçaient sous statut d’artisan-commerçant dans 15 % des cas et sous forme de SARL (société à responsabilité limitée) dans 61,4 %. Pour autant, en 2017, la progression de perte d’emploi se révèle la plus forte (+14,8 %) parmi les dirigeants de SAS (sociétés par actions simplifiées), donnée qui s’explique en partie par l’augmentation du nombre de créations sous ce statut.

Confirmation de la plus forte fragilité des dirigeants de petites structures, pour 89,3 % des entreprises touchées, le chiffre d’affaires était non connu ou inférieur à 500 000 €.

« Les créations d’entreprises sont au plus haut depuis le début de la décennie, les défaillances d’entreprises au plus bas sur dix ans, la France recolle au peloton de tête des économies dynamiques. Pourtant, cette embellie oublie une autre réalité. Alors qu’ils lancent des entreprises, inventent le business de demain, et créent des emplois, les entrepreneurs peuvent chaque jour être confrontés à leur propre « chômage ». 50 000 chefs d’entreprises ont été placés devant cette difficulté en 2017 après la liquidation judiciaire de leur entreprise. Oser le risque est l’ADN de chaque entrepreneur et c’est un moteur pour l’économie mais cela ne peut se concevoir sans un filet de sécurité. » commente Charles Battista, Directeur de la Communication et des relations externes Altares.

Amélioration sur quasi tout le territoire

La majorité des régions françaises est concernée par cette dynamique ; le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi est en baisse dans douze régions sur treize.

Pour autant la réalité des territoires apparait plus complexe. Si l’année précédente, sept régions sur treize enregistraient une baisse supérieure ou égale à 10 %, les résultats 2017 sont très contrastés. Les régions du Grand Est (-12,6 %) et des Hauts de France (-11 %) connaissent une nette amélioration tandis que les pertes d’emploi de dirigeants ont légèrement augmenté en Provence Alpes Côte d’Azur (+0,4 %). Pour huit régions sur treize, la baisse est inférieure à 7 %.

Des pertes d’emploi conséquentes pour les secteurs du bâtiment, du commerce, des transports et de la logistique

Les entrepreneurs du bâtiment (25,8 %) et du commerce (24 %) continuent de représenter la moitié des pertes d’emploi. Malgré ce constat, on observe que leur nombre est en baisse continue depuis 2014. En 2017, dans le secteur de la construction, ils sont 12 441 à avoir perdu leur emploi, soit une baisse de -11,3 % par rapport à l’année précédente. Avec 11 592 pertes d’emploi de commerçants contre 11 870 l’année précédente, le secteur du commerce connaît une amélioration moins nette.

Cette amélioration est particulièrement observée dans les secteurs des Service aux entreprises (-13,8 %) et des Activités d’assurance et financières (-11,3 %). L’Industrie (-5,6 %) et les Services aux particuliers (-5 %) profitent également d’une amélioration.

Seul le secteur des Transports et de la Logistique régresse, avec 1 699 entrepreneurs en situation de perte d’emploi contre 1 594 en 2017.

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Acteur de premier plan de la Data Economy, Altares valorise le patrimoine Data des entreprises en le transformant en performance économique. Partenaire de confiance indépendant, Altares fournit, collecte, analyse et enrichit les données afin de les rendre « intelligentes » et d’en faire un outil décisionnel agile pour les Directions Générales et opérationnelles des entreprises. Dans un monde où la technologie accélère de façon exponentielle (IA, objets connectés, blockchain, programmatique) mais où l’intuition humaine n’a jamais été aussi utile, le groupe propose son expertise sur toute la chaine de valeur de la data.

Partenaire exclusif en France de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI et PME en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 280 millions d’entreprises dans 220 pays. Avec l’acquisition récente de D&B Benelux, le groupe compte désormais 420 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de plus de 115 millions d’euros

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

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