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COVID-19 – Observatoire 2019 en Bourgogne-Franche-Comté

Communiqué de presse

Paris, le 11 juin 2020

 

COVID-19 – Observatoire 2019 en Bourgogne-Franche-Comté : après la crise, la protection des chefs d’entreprise doit être une priorité

1 790 femmes et hommes dirigeants ont déjà perdu leur emploi en 2019,

 et l’année 2020 s’annonce dramatique 

 

 La crise sanitaire que traverse actuellement la France bouleverse l’économie du pays et met en péril de nombreuses entreprises et dirigeants. Selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs réalisé par l’association GSC et la société Altares, déjà 1 790 femmes et hommes chefs d’entreprise de la région Bourgogne-Franche-Comté avaient perdu leur emploi en 2019. Cette situation alarmante risque de devenir dramatique pour l’année 2020.

L’indemnisation en vigueur depuis le 1er novembre 2019 avec la loi « Avenir professionnel », n’est pas à la hauteur pour ces hommes et femmes qui se retrouvent en situation de chômage. Une prise de conscience de l’ensemble des parties prenantes doit avoir lieu pour que la protection des chefs d’entreprise devienne une priorité.

 

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Combien d’entreprises mettront la clé sous la porte après cette crise ? Nous ne le savons pas encore mais la situation est catastrophique pour ces femmes et hommes chefs d’entreprise. Les mesures économiques annoncées par le gouvernement pour les soutenir sont un premier pas. Mais cette crise doit nous servir d’électrochoc sur l’ensemble des territoires. Après cette catastrophe, la nécessité de protéger les entrepreneurs n’est plus à prouver. Il sera désormais criminel de ne pas informer et encourager les entrepreneurs à anticiper les risques liés à la perte d’emploi. L’ensemble des réseaux d’accompagnement de la région Bourgogne-Franche-Comté doivent informer encore et encore les dirigeants sur les conséquences de cette perte d’activité et des solutions d’assurance perte d’emploi qui existent. C’est notre responsabilité sociale à tous. ».

Alors que l’âge médian des dirigeants impactés en Bourgogne-Franche-Comté s’établit à 46,5 ans en 2019, les effets dévastateurs du COVID-19 laissent penser que toutes les tranches d’âges seront impactées cette année. Les secteurs les plus touchés en 2019 dans la région comme la construction, le commerce et l’hébergement, restauration et débits de boissons devront également faire face à de nouvelles difficultés en 2020. Depuis le 15 mars, de nombreux dirigeants ont dû fermer leur établissement ou mettre leur activité à l’arrêt laissant présager des situations financières dramatiques qui pourront engendrer des liquidations judiciaires. Ces secteurs représentaient déjà plus de la moitié des pertes d’emploi en Bourgogne-Franche-Comté en 2019 avec 408 entreprises impactées dans le commerce, 350 sociétés liquidées dans la construction et 278 dans le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons.

Secteurs d’activités

« Depuis mai 2019, le nombre de défaillances d’entreprises a reculé continuellement chaque mois, une baisse qui s’est même accélérée début 2020. Mais une crise incomparable a rebattu les cartes à partir de mars. Au drame sanitaire provoqué sur toute la planète par la pandémie de Covid-19, s’est ajoutée une catastrophe économique d’une ampleur sans précèdent. En France, plus d’un million d’établissements a été contraint brutalement de recourir à l’activité partielle. Pour 150 000 TPE le dépôt de bilan a été évité grâce au recours au prêt garanti par l’état. Mais cela sera – t ’il suffisant pour sauver durablement des milliers d’entrepreneurs de la cessation de paiement ? Pour beaucoup de chefs d’entreprises il faut trouver du cash urgemment, c’est vital pour réussir l’après confinement, tenir l’activité à flot durant les prochains mois et conserver son emploi. » explique Thierry MILLON, Directeur des études Altares.

 

Téléchargez l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

 

 

COVID-19 – Observatoire 2019 en Bretagne

Communiqué de presse

Paris, le 10 juin 2020

COVID-19 – Observatoire en Bretagne : après la crise, la protection des chefs d’entreprise doit être une priorité

1 952 femmes et hommes dirigeants ont déjà perdu leur emploi en 2019,

 et l’année 2020 s’annonce dramatique

 

La crise sanitaire que traverse actuellement la France bouleverse l’économie du pays et met en péril de nombreuses entreprises et dirigeants. Selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs réalisé par l’association GSC et la société Altares, déjà 1 952 femmes et hommes chefs d’entreprise de la région Bretagne avaient perdu leur emploi en 2019. Cette situation alarmante risque de devenir dramatique pour l’année 2020.

L’indemnisation en vigueur depuis le 1er novembre 2019 avec la loi « Avenir professionnel », n’est pas à la hauteur pour ces hommes et femmes qui se retrouvent en situation de chômage. Une prise de conscience de l’ensemble des parties prenantes doit avoir lieu pour que la protection des chefs d’entreprise devienne une priorité.

 

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Combien d’entreprises mettront la clé sous la porte après cette crise ? Nous ne le savons pas encore mais la situation est catastrophique pour ces femmes et hommes chefs d’entreprise. Les mesures économiques annoncées par le gouvernement pour les soutenir sont un premier pas. Mais cette crise doit nous servir d’électrochoc sur l’ensemble des territoires. Après cette catastrophe, la nécessité de protéger les entrepreneurs n’est plus à prouver. Il sera désormais criminel de ne pas informer et encourager les entrepreneurs à anticiper les risques liés à la perte d’emploi. L’ensemble des réseaux d’accompagnement de la région Bretagne doivent informer encore et encore les dirigeants sur les conséquences de cette perte d’activité et des solutions d’assurance perte d’emploi qui existent. C’est notre responsabilité sociale à tous. ».

Alors que l’âge médian des dirigeants impactés en Bretagne s’établit à 46,9 ans en 2019, les effets dévastateurs du COVID-19 laissent penser que toutes les tranches d’âges seront impactées cette année. Les secteurs les plus touchés en 2019 dans la région comme la construction, le commerce et l’hébergement, restauration et débits de boissons devront également faire face à de nouvelles difficultés en 2020. Depuis le 15 mars, de nombreux dirigeants ont dû fermer leur établissement ou mettre leur activité à l’arrêt laissant présager des situations financières dramatiques qui pourront engendrer des liquidations judiciaires. Ces secteurs représentaient déjà plus de la moitié des pertes d’emploi en Bretagne en 2019 avec 411 entreprises impactées dans le commerce, 393 sociétés liquidées dans la construction et 274 dans le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons.

Secteurs d’activités

« Depuis mai 2019, le nombre de défaillances d’entreprises a reculé continuellement chaque mois, une baisse qui s’est même accélérée début 2020. Mais une crise incomparable a rebattu les cartes à partir de mars. Au drame sanitaire provoqué sur toute la planète par la pandémie de Covid-19, s’est ajoutée une catastrophe économique d’une ampleur sans précèdent. En France, plus d’un million d’établissements a été contraint brutalement de recourir à l’activité partielle. Pour 150 000 TPE le dépôt de bilan a été évité grâce au recours au prêt garanti par l’état. Mais cela sera-t ’il suffisant pour sauver durablement des milliers d’entrepreneurs de la cessation de paiement ? Pour beaucoup de chefs d’entreprises il faut trouver du cash urgemment, c’est vital pour réussir l’après confinement, tenir l’activité à flot durant les prochains mois et conserver son emploi. » explique Thierry MILLON, Directeur des études Altares.

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COVID-19 – Observatoire 2019 en Auvergne-Rhône-Alpes

Communiqué de presse

Paris, le 9 juin 2020

COVID-19 – Observatoire 2019 en Auvergne-Rhône-Alpes : après la crise, la protection des chefs d’entreprise doit être une priorité

5 775 femmes et hommes dirigeants ont déjà perdu leur emploi en 2019,

 et l’année 2020 s’annonce dramatique.

La crise sanitaire que traverse actuellement la France bouleverse l’économie du pays et met en péril de nombreuses entreprises et dirigeants. Selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs réalisé par l’association GSC et la société Altares, déjà 5 775 femmes et hommes chefs d’entreprise de la région Auvergne-Rhône-Alpes avaient perdu leur emploi en 2019. Cette situation alarmante risque de devenir dramatique pour l’année 2020.

L’indemnisation en vigueur depuis le 1er novembre 2019 avec la loi « Avenir professionnel », n’est pas à la hauteur pour ces hommes et femmes qui se retrouvent en situation de chômage. Une prise de conscience de l’ensemble des parties prenantes doit avoir lieu pour que la protection des chefs d’entreprise devienne une priorité.

 

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Combien d’entreprises mettront la clé sous la porte après cette crise ? Nous ne le savons pas encore mais la situation est catastrophique pour ces femmes et hommes chefs d’entreprise. Les mesures économiques annoncées par le gouvernement pour les soutenir sont un premier pas. Mais cette crise doit nous servir d’électrochoc sur l’ensemble des territoires. Après cette catastrophe, la nécessité de protéger les entrepreneurs n’est plus à prouver. Il sera désormais criminel de ne pas informer et encourager les entrepreneurs à anticiper les risques liés à la perte d’emploi. L’ensemble des réseaux d’accompagnement de la région Auvergne-Rhône-Alpes doivent informer encore et encore les dirigeants sur les conséquences de cette perte d’activité et des solutions d’assurance perte d’emploi qui existent. C’est notre responsabilité sociale à tous. ».

Alors que l’âge médian des dirigeants impactés en Auvergne-Rhône-Alpes s’établit à 45,7 ans en 2019, les effets dévastateurs du COVID-19 laissent penser que toutes les tranches d’âges seront impactées cette année. Les secteurs les plus touchés en 2019 dans la région comme la construction, le commerce et l’hébergement, restauration et débits de boissons devront également faire face à de nouvelles difficultés en 2020. Depuis le 15 mars, de nombreux dirigeants ont dû fermer leur établissement ou mettre leur activité à l’arrêt laissant présager des situations financières dramatiques qui pourront engendrer des liquidations judiciaires. Ces secteurs représentaient déjà plus de la moitié des pertes d’emploi en Auvergne-Rhône-Alpes en 2019 avec 1 411 entreprises impactées dans la construction, 1 251 sociétés liquidées dans le commerce et 731 dans le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons.

Secteurs d’activités

« Depuis mai 2019, le nombre de défaillances d’entreprises a reculé continuellement chaque mois, une baisse qui s’est même accélérée début 2020. Mais une crise incomparable a rebattu les cartes à partir de mars. Au drame sanitaire provoqué sur toute la planète par la pandémie de Covid-19, s’est ajoutée une catastrophe économique d’une ampleur sans précèdent. En France, plus d’un million d’établissements a été contraint brutalement de recourir à l’activité partielle. Pour 150 000 TPE le dépôt de bilan a été évité grâce au recours au prêt garanti par l’état. Mais cela sera-t ’il suffisant pour sauver durablement des milliers d’entrepreneurs de la cessation de paiement ? Pour beaucoup de chefs d’entreprises il faut trouver du cash urgemment, c’est vital pour réussir l’après confinement, tenir l’activité à flot durant les prochains mois et conserver son emploi. » explique Thierry MILLON, Directeur des études Altares.

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COVID-19 – Observatoire 2019 en Provence-Alpes-Côte-d’Azur

Communiqué de presse

Paris, le 2 juin 2020

COVID-19 région Provence-Alpes-Côte-d’Azur : après la crise, la protection des chefs d’entreprise doit être une priorité

4 843 femmes et hommes dirigeants ont déjà perdu leur emploi en 2019, et l’année 2020 s’annonce dramatique.

La crise sanitaire que traverse actuellement la France bouleverse l’économie du pays et met en péril de nombreuses entreprises et dirigeants. Selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs réalisé par l’association GSC et la société Altares, déjà 4 843 femmes et hommes chefs d’entreprise de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur avaient perdu leur emploi en 2019. Cette situation alarmante risque de devenir dramatique pour l’année 2020.

L’indemnisation en vigueur depuis le 1er novembre 2019 avec la loi « Avenir professionnel », n’est pas à la hauteur pour ces hommes et femmes qui se retrouvent en situation de chômage. Une prise de conscience de l’ensemble des parties prenantes doit avoir lieu pour que la protection des chefs d’entreprise devienne une priorité.

 

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Combien d’entreprises mettront la clé sous la porte après cette crise ? Nous ne le savons pas encore mais la situation est catastrophique pour ces femmes et hommes chefs d’entreprise. Les mesures économiques annoncées par le gouvernement pour les soutenir sont un premier pas. Mais cette crise doit nous servir d’électrochoc sur l’ensemble des territoires. Après cette catastrophe, la nécessité de protéger les entrepreneurs n’est plus à prouver. Il sera désormais criminel de ne pas informer et encourager les entrepreneurs à anticiper les risques liés à la perte d’emploi. L’ensemble des réseaux d’accompagnement de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur doivent informer encore et encore les dirigeants sur les conséquences de cette perte d’activité et des solutions d’assurance perte d’emploi qui existent. C’est notre responsabilité sociale à tous. ».

Alors que l’âge médian des dirigeants impactés en Provence-Alpes-Côte-d’Azur s’établit à 47,3 ans en 2019, les effets dévastateurs du COVID-19 laissent penser que toutes les tranches d’âges seront impactées cette année. Les secteurs les plus touchés en 2019 dans la région comme la construction, le commerce et l’hébergement, restauration et débits de boissons devront également faire face à de nouvelles difficultés en 2020. Depuis le 15 mars, de nombreux dirigeants ont dû fermer leur établissement ou mettre leur activité à l’arrêt laissant présager des situations financières dramatiques qui pourront engendrer des liquidations judiciaires. Ces secteurs représentaient déjà plus de la moitié des pertes d’emploi en Provence-Alpes-Côte-d’Azur en 2019 avec 1 182 entreprises impactées dans la construction, 1 027 sociétés liquidées dans le commerce et 755 dans le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons.

Secteurs d’activités

« Depuis mai 2019, le nombre de défaillances d’entreprises a reculé continuellement chaque mois, une baisse qui s’est même accélérée début 2020. Mais une crise incomparable a rebattu les cartes à partir de mars. Au drame sanitaire provoqué sur toute la planète par la pandémie de Covid-19, s’est ajoutée une catastrophe économique d’une ampleur sans précèdent. En France, plus d’un million d’établissements a été contraint brutalement de recourir à l’activité partielle. Pour 150 000 TPE le dépôt de bilan a été évité grâce au recours au prêt garanti par l’état. Mais cela sera – t ’il suffisant pour sauver durablement des milliers d’entrepreneurs de la cessation de paiement ? Pour beaucoup de chefs d’entreprises il faut trouver du cash urgemment, c’est vital pour réussir l’après confinement, tenir l’activité à flot durant les prochains mois et conserver son emploi. » explique Thierry MILLON, Directeur des études Altares

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4ème Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

communiqué de presse du 03 mars 2020

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs
48 358 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2019

 

L’association GSC et la société Altares dévoilent la 4ème édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. En 2019, 48 358 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle. Malgré un niveau inférieur à 2018 (- 3,6 %), ils sont encore trop nombreux à vivre une situation de perte d’emploi.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de « chômage » reste trop élevé

Après une année 2018 en hausse, le nombre de chefs d’entreprise ayant perdu leur emploi connait une légère baisse et s’établit à 48 358.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Le nombre de dirigeants d’entreprise en situation de perte d’activité demeure à un niveau dramatiquement élevé. Alors que les créations d’entreprises ont atteint un niveau record en 2019, notre responsabilité collective est d’informer ceux qui se lancent dans l’aventure entrepreneuriale des possibilités et opportunités mais également des risques et des pièges liés à leur activité professionnelle. L’anticipation et la préparation sont les préalables à toute prise de risque. Toutes les parties prenantes, experts comptables, avocats, réseaux professionnels, doivent sensibiliser sur ces deux aspects essentiels C’est notre responsabilité sociale à tous »

9 dirigeants sur 10 en perte d’emploi étaient à la tête d’une TPE

Les gérants des petites entreprises sont les plus touchés : 9 sur 10 se trouvaient à la tête d’une TPE de moins de 6 salariés. Parmi eux, la grande majorité (33 894) employait moins de 3 salariés.

Les dirigeants de SARL (une forme très plébiscitée lorsqu’il s’agit d’entreprendre à plusieurs), qui représentent plus de la moitié (54 %) des entreprises, incarnent l’essentiel des personnes impactées malgré une tendance à la baisse : 24 500 dirigeants ont perdu leur emploi en 2019 contre 27 919 en 2018 (- 12,2 %). Une diminution est également constatée chez les artisans-commerçants : 5 701 ont connu une perte d’emploi en 2019 contre 6 650 en 2018 (- 14,3 %).

A contrario, les SAS (une forme qui ressemble à la SARL mais de plus en plus prisée par sa plus grande souplesse d’organisation) font face à une augmentation importante : 13 312 emplois (+ 11,3 % en 2019). La Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle (SASU) qui n’autorise qu’un seul associé, concentre plus de la moitié des SAS (53%).

19 208 entrepreneurs dirigeaient une société dont le chiffre d’affaires était inférieur à 1 million d’euros.  On note par ailleurs une augmentation de 15,3 % de perte d’emplois chez les dirigeants de sociétés développant de 5 à 10 millions d’euros de CA.

L’âge médian des dirigeants d’entreprises impactés reste stable en 2019 et s’établit à 46 ans.

Près de la moitié des entrepreneurs en situation de perte d’activité avaient entre 31 et 50 ans avec 23 613 dirigeants concernés.

Plus du tiers des entrepreneurs ayant connu une perte d’emploi sont âgés de plus de 50 ans, en hausse en comparaison avec 2018.

« Depuis le pic de défaillances de 2015, comparable à celui de 2009, la santé des entreprises s’améliore mais encore plus de 52 000 ont défailli en 2019 dont les trois quarts sont des TPE de moins de 3 salariés. Ces chefs d’entreprise sont par nature optimistes, des femmes et des hommes sachant saisir les opportunités. Pourtant, les aléas conjoncturels font aussi naitre des risques importants qu’il convient d’identifier pour pouvoir les prévenir et s’en protéger. Le risque client en est un majeur naturellement mais le risque de perte d’emploi en est un autre dont la prise de conscience arrive encore tardivement, lorsque le risque devient une réalité. Anticiper l’échec c’est pourtant favoriser la réussite d’un nouveau projet entrepreneurial ou salarial. » explique Charles Battista,Directeur Altares.

Les entrepreneurs des secteurs de la construction et du commerce particulièrement confrontés à la perte d’activité professionnelle

Malgré un net recul en 2019, les entrepreneurs de la construction (24,9 %) et du commerce (23,3 %) représentent toujours la moitié des pertes d’emploi. Les dirigeants du bâtiment gros œuvre et second œuvre sont particulièrement concernés avec respectivement 4 004 et 5 893 femmes et hommes ayant perdu leur emploi. Le commerce et réparation véhicules (1 952), le détail alimentaire (1 119) et l’habillement (1 010) portent les plus importantes pertes d’emploi dans le secteur du commerce.

Les difficultés sont également très présentes pour les dirigeants dans les secteurs des services. Ils sont   5 745 à avoir perdu leur emploi dans les services aux entreprises. De fortes disparités sont constatées entre les différentes activités du secteur. Les activités juridiques et comptables (- 24,3 %) et la publicité et études de marché (- 21,5 %) bénéficient d’une baisse. A contrario, les activités liées à l’emploi (+ 18,5 %) connaissent davantage de difficulté en 2019.

1 927 dirigeants ont perdu leur emploi dans les services aux particuliers portés majoritairement par l’activité coiffeur, soins de beauté et corporels (1 325 chefs d’entreprise).

En 2019, les entrepreneurs du secteur de l’hébergement, restauration, débit de boisson, soit 6 432 personnes, continuent d’être très fortement impactés malgré une diminution dans l’ensemble de ces secteurs (- 8 %).

Seul le secteur transport et logistique connait une hausse globale de 1,7 % en 2019, qui concerne 1 982 chefs d’entreprise.

L’ensemble des chefs d’entreprise du territoire français impacté par la baisse

L’ensemble du territoire connait une baisse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les régions Ile-de-France (23,6 %), Auvergne-Rhône-Alpes (11,7 %) et PACA (10 %) représentent à elles seules près de la moitié des pertes d’emploi en France. L’Ile-de-France, les Pays-de-la-Loire et l’Outre-mer qui avaient fait face en 2018 à une hausse conséquente, connaissent cette année le plus fort recul avec respectivement : – 7,8 %, – 13,2 % et -17,3 %. La Bretagne, la Corse ainsi que la Bourgogne-Franche-Comté connaissent une diminution minime du nombre de dirigeants concernés.

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Generali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaine de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 350 millions d’entreprises dans 220 pays.

 

Contacts presse

Association GSC

Amélie Lebreton – Agence CorioLink

amelie.lebreton@coriolink.com – 06 70 60 25 30

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

Découvrez le nouveau film de l’association GSC

L’association GSC est très fière de vous présenter son nouveau film de sensibilisation, à retrouver sur nos réseaux sociaux et en campagne display.
Réalisé par David Kitel, Produit par 15 Août Prod, Imaginé par Coriolink et Ezz Thetic

Créée il y a 40 ans, l’association GSC est la réponse au besoin de protection chômage imaginée par le Medef, la CPME et l’U2P.
Pour plus d’infos, rejoignez-nous sur www.gsc.asso.fr – 01 45 72 63 10

Occitanie: 4 460 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

En Occitanie, 4 460 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

L’association GSC et la société Altares, dévoilent la troisième vague des chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 4 460 hommes et femmes entrepreneurs en situation de chômage en 2018, la région Occitanie représente près de 9% des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. En Occitanie, si le nombre de dirigeants impactés est inférieur à celui de l’an passé, il demeure intolérable pour l’association GSC car nombre d’entre eux ne disposent d’aucune protection sociale « chômage ».

Occitanie : des résultats contrastés sur le territoire

En Occitanie, 4 460 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi en 2018, une baisse de 4,6 % par rapport à 2017.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« 4 460, ce chiffre est insoutenable ! Les chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi ne sont pas pris en charge par Pôle emploi et ne bénéficient d’aucune protection chômage. Pour éviter une catastrophe financière, les dirigeants peuvent prendre une assurance volontaire. Encore faut-il qu’ils sachent que cette dernière existe et qu’elle joue le même rôle que les allocations Pôle emploi pour les salariés. La mobilisation de l’ensemble des acteurs de la région est indispensable pour sensibiliser les entrepreneurs aux conséquences de la perte d’emploi. C’est une nécessité sociale et économique. »

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en hausse dans cinq des treize départements du territoire.

Dans les Hautes-Pyrénées, 199 chefs d’entreprises ont ainsi perdu leur emploi en 2018, soit 24,4% de plus qu’en 2017. Le département du Lot voit également la situation se dégrader avec une augmentation de 6,2 % entre 2017 et 2018 avec 103 entrepreneurs impactés. Les Pyrénées-Orientales font face à un accroissement de 5,2% (soit 564 dirigeants concernés). Il en va de même pour l’Ariège avec 3,3% d’augmentation (93 chefs d’entreprise en situation de perte d’emploi en 2018). Dans une moindre mesure, le Tarn-et-Garonne connaît une hausse non négligeable (2,2% soit 229 chefs d’entreprise touchés en 2018). Parmi les treize départements, on constate une baisse du taux de chômage pour huit d’entre eux. Les entrepreneurs de la Lozère sont les moins impactés par la perte d’emploi (32 concernés soit 22% de moins que l’an passé). Avec 265 chefs d’entreprise touchés, l’Aude enregistre, quant à elle, une baisse de 19,2%. L’Aveyron connait une réduction du taux de « chômage » de 15,2% soit 123 entrepreneurs en cessation d’activité en 2018. Même si le nombre de personnes concernées reste important, on assiste à une baisse de 14,2% (soit 908 entrepreneurs en 2018) dans l’Hérault. Le département du Tarn comptabilise 252 chefs d’entreprises en inactivité (soit 7,7% de moins que l’an passé). Le Gard, quant à lui, connait une baisse 2,2%, comparé à 2017 ce qui représente 591 entrepreneurs touchés. Pour finir, dans les départements de Haute Garonne et du Gers, les parts des entrepreneurs en situation de perte d’emploi ont baissé respectivement de 1,8% (981 dirigeants concernés) et de 1,6% (120 dirigeants concernés).

55% des entreprises d’Occitanie, impactées par la perte d’emploi de leur dirigeant, comptaient un ou deux salariés. A noter que l’âge médian des dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi sur le territoire est de 46,6 ans pour 2018 (46 ans sur l’ensemble de la France).

Comme en 2017, les secteurs de la construction, du commerce et de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentrent à eux trois plus de la moitié des pertes d’emploi de la région Occitanie (67%). Les activités du commerce demeurent les plus durement frappées avec 1 159 entrepreneurs en situation de chômage en 2018, avec une légère augmentation par rapport à 2017 (+0,9%). Les chefs d’entreprises de la construction sont moins impactés que l’an passé avec une baisse de près de 6% soit 1 054 personnes concernées, dont 81% exerçaient dans le domaine du bâtiment. Le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentre quant à lui 772 des pertes d’emploi de dirigeants. Parmi ces commerçants, 68% des pertes d’emploi concernent la restauration.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage en France reste toujours trop élevé

La baisse entamée il y a trois ans connaît un ralentissement. En 2018, 50 185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un nombre stable (+0,3%) par rapport à 2017. Plus du tiers (35,8%) des dirigeants touchés par la perte de leur emploi en 2018 a plus de 50 ans. On pourrait s’attendre à ce que les entrepreneurs plus expérimentés soient mieux préparés aux aléas. Mais aujourd’hui, le modèle économique doit être sans cesse repensé sous peine de fragiliser l’entreprise. Cette nécessaire agilité n’est pas toujours aussi bien ancrée chez les quinquagénaires qui pilotent leur entreprise depuis longtemps que chez les jeunes. Or si un changement de parcours reste tout à fait envisageable pour les dirigeants de moins de 26 ans, la situation s’avère bien plus délicate pour leurs aînés de plus de 50 ans.

L’ensemble du territoire français en tension

Près de la moitié des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile de France (23%), la région Auvergne-Rhône-Alpes (12%) et PACA (10%). La majorité des régions françaises (9 sur 13) est impactée par la hausse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les territoires les plus touchés sont l’Ile-de-France (+7,3%), l’Outre-mer (+4,6%) et les Pays de la Loire (+4,2%). À contrario, les régions Provence Alpes Côte d’Azur (-7%), Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées (-5,3%) et Bretagne (-4,8) enregistrent un recul significatif laissant apparaître des inégalités territoriales fortes.

« Plus de 690 000 nouvelles entreprises ont été créées en 2018, dont près de la moitié en micro-entreprises ; un record ! Tous ces paris entrepreneuriaux sont portés, avant tout, par des énergies humaines capables de mobiliser des ressources autour d’un projet. Ces chefs d’entreprises acceptent alors de prendre un risque financier professionnel. Beaucoup, cependant, négligent, voire oublient, d’autres risques, plus personnels parfois. Il en est ainsi de l’assurance perte d’emploi souvent reléguée au second plan. Pourtant en 2019 les défaillances d’entreprises devraient repartir à la hausse, et les dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi être toujours plus nombreux ! » commente Charles Battista Directeur Altares

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 300 millions d’entreprises dans 220 pays.

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

En Bretagne, 1 865 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

Bretagne : 1 865 dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

En Bretagne, 1 865 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

L’association GSC et la société Altares, dévoilent la troisième vague des chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 1 865 femmes et hommes entrepreneurs en situation de chômage en 2018, la Bretagne représente près de 4 % des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. Si le nombre de dirigeants impactés est inférieur à celui de l’an passé, il demeure intolérable pour l’association GSC car nombre d’entre eux ne disposent d’aucune protection sociale « chômage ».

Bretagne : des résultats homogènes sur le territoire

En Bretagne, 1 865 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi en 2018, une baisse de 5,3 % par rapport à 2017.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« 1 865, ce chiffre est insoutenable ! Les chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi ne sont pas pris en charge par Pôle emploi et ne bénéficient d’aucune protection chômage. Pour éviter une catastrophe financière, les dirigeants peuvent prendre une assurance volontaire. Encore faut-il qu’ils sachent que cette dernière existe et qu’elle joue le même rôle que les allocations Pôle emploi pour les salariés. La mobilisation de l’ensemble des acteurs de la région est indispensable pour sensibiliser les entrepreneurs aux conséquences de la perte d’emploi. C’est une nécessité sociale et économique. »

Si le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse dans la majorité des départements, un territoire se trouve plus impacté que les autres. En Ille-et-Vilaine, 572 chefs d’entreprises ont ainsi perdu leur emploi en 2018, soit 0,2% de plus qu’en 2017.

Sur les quatre départements qui constituent la région Bretagne, trois enregistrent une baisse. Les Côtes-d’Armor connaissent une nette amélioration, le nombre de dirigeants d’entreprise ayant perdu leur emploi en 2018 retombe à 336 soit 12% de moins qu’en 2017. Il est suivi par le Morbihan avec 469 chefs d’entreprise impactés soit une baisse de 10,8%. Le département du Finistère affiche quant à lui une légère diminution de 0,4% au regard de l’année 2017 avec 488 entrepreneurs touchés.

Près de 56% des entreprises en Bretagne, impactées par la perte d’emploi de leur dirigeant, comptaient un ou deux salariés. L’âge médian des dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi sur le territoire est de 46,6 ans pour 2018 (46 ans sur l’ensemble de la France).

Comme en 2017, les secteurs du commerce, de la construction et de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentrent à eux trois plus de la moitié des pertes d’emploi de la région Bretagne (64,8%). Bien que le secteur enregistre une baisse de 11,5 % par rapport à 2017, les activités de commerce demeurent les plus impactées avec 454 entrepreneurs en situation de chômage en 2018 dont 284 exerçant dans le domaine du commerce de détail. Il est suivi par celui de la construction avec 416 chefs d’entreprise touchés. Le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentre quant à lui 337 des pertes d’emploi de dirigeants. Parmi ces commerçants, 197 pertes d’emploi concernent la restauration.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage en France reste toujours trop élevé

La baisse entamée il y a trois ans connaît un ralentissement. En 2018, 50 185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un nombre stable (+0,3%) par rapport à 2017. Plus du tiers (35,8%) des dirigeants touchés par la perte de leur emploi en 2018 a plus de 50 ans. On pourrait s’attendre à ce que les entrepreneurs plus expérimentés soient mieux préparés aux aléas. Mais aujourd’hui, le modèle économique doit être sans cesse repensé sous peine de fragiliser l’entreprise. Cette nécessaire agilité n’est pas toujours aussi bien ancrée chez les quinquagénaires qui pilotent leur entreprise depuis longtemps que chez les jeunes. Or si un changement de parcours reste tout à fait envisageable pour les dirigeants de moins de 26 ans, la situation s’avère bien plus délicate pour leurs aînés de plus de 50 ans.

L’ensemble du territoire français en tension

Près de la moitié des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile de France (23%), la région Auvergne-Rhône-Alpes (12%) et PACA (10%). La majorité des régions françaises (9 sur 13) est impactée par la hausse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les territoires les plus touchés sont l’Ile-de-France (+7,3%), l’Outre-mer (+4,6%) et les Pays de la Loire (+4,2%). À contrario, les régions Provence Alpes Côte d’Azur (-7%), Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées (-5,3%) et Bretagne (-4,8) enregistrent un recul significatif laissant apparaître des inégalités territoriales fortes.

« Plus de 690 000 nouvelles entreprises ont été créées en 2018, dont près de la moitié en micro-entreprises ; un record ! Tous ces paris entrepreneuriaux sont portés, avant tout, par des énergies humaines capables de mobiliser des ressources autour d’un projet. Ces chefs d’entreprises acceptent alors de prendre un risque financier professionnel. Beaucoup, cependant, négligent, voire oublient, d’autres risques, plus personnels parfois. Il en est ainsi de l’assurance perte d’emploi souvent reléguée au second plan. Pourtant en 2019 les défaillances d’entreprises devraient repartir à la hausse, et les dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi être toujours plus nombreux ! » commente Charles Battista Directeur Altares

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 300 millions d’entreprises dans 220 pays.

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

En Bretagne, 1 865 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

Pays de la Loire : 2 266 dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

Dans la région Pays-de-la-Loire, 2 266 hommes et femmes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

L’association GSC et la société Altares, dévoilent la troisième vague des chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 2 266 hommes et femmes entrepreneurs en situation de chômage en 2018, la région Pays-de-la-Loire représente près de 4,5% des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. Le nombre de dirigeants impactés est supérieur à celui de l’an passé, une situation intolérable pour l’association GSC car nombre d’entre eux ne disposent d’aucune protection sociale « chômage ».

Pays-de-la-Loire : des résultats homogènes sur le territoire

Dans la région du Pays-de-la-Loire, 2 266 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi en 2018, un chiffre en augmentation (4,1 %) par rapport à 2017.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« 2 266, ce chiffre est insoutenable ! Les chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi ne sont pas pris en charge par Pôle emploi et ne bénéficient d’aucune protection chômage. Pour éviter une catastrophe financière, les dirigeants peuvent prendre une assurance volontaire. Encore faut-il qu’ils sachent que cette dernière existe et qu’elle joue le même rôle que les allocations Pôle emploi pour les salariés. La mobilisation de l’ensemble des acteurs de la région est indispensable pour sensibiliser les entrepreneurs aux conséquences de la perte d’emploi. C’est une nécessité sociale et économique. »

Le nombre d’entrepreneurs en situation de « chômage » est en hausse dans quatre des cinq départements du territoire. Dans le Maine-et-Loire, 489 chefs d’entreprises ont ainsi perdu leur emploi en 2018, soit 10,4% de plus qu’en 2017. La Vendée voit également la situation se dégrader avec une augmentation de 4,6 % entre 2017 et 2018 avec 429 entrepreneurs impactés. Il en est de même dans la Sarthe avec 337 dirigeants en situation de « chômage », soit 3,1% de plus que l’an passé. Dans une moindre mesure, la Loire-Atlantique connaît une légère hausse (+1,8% soit 839 chefs d’entreprise concernés en 2018).

Les entrepreneurs du département de la Mayenne ne sont pas plus impactés par la perte d’emploi qu’en 2017 (172 concernés, un nombre identique à celui de l’année précédente).

52% des entreprises du Pays-de-la-Loire, impactées par la perte d’emploi de leur dirigeant, comptaient un ou deux salariés. A noter que l’âge médian des dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi sur le territoire est de 45,9 ans pour 2018 (46 ans sur l’ensemble de la France).

Comme en 2017, les secteurs de la construction, du commerce et de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentrent à eux trois plus de la moitié des pertes d’emploi de la région Pays-de-la-Loire (60,7%) avec cependant des situations contrastées dans les évolutions de ces secteurs. Si les activités du commerce demeurent les plus durement frappées avec 540 entrepreneurs en situation de chômage en 2018, on note une baisse par rapport à 2017 (-2,4%). De même, les chefs d’entreprises de la construction sont moins impactés que l’an passé avec une baisse de -1,3% soit 464 personnes concernées, dont près de 83% exerçaient dans le domaine du bâtiment. Le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentre quant à lui 372 des pertes d’emploi de dirigeants. Parmi ces commerçants, 60% des pertes d’emploi concernent la restauration.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage en France reste toujours trop élevé

La baisse entamée il y a trois ans connaît un ralentissement. En 2018, 50 185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un nombre stable (+0,3%) par rapport à 2017. Plus du tiers (35,8%) des dirigeants touchés par la perte de leur emploi en 2018 a plus de 50 ans. On pourrait s’attendre à ce que les entrepreneurs plus expérimentés soient mieux préparés aux aléas. Mais aujourd’hui, le modèle économique doit être sans cesse repensé sous peine de fragiliser l’entreprise. Cette nécessaire agilité n’est pas toujours aussi bien ancrée chez les quinquagénaires qui pilotent leur entreprise depuis longtemps que chez les jeunes. Or si un changement de parcours reste tout à fait envisageable pour les dirigeants de moins de 26 ans, la situation s’avère bien plus délicate pour leurs aînés de plus de 50 ans.

L’ensemble du territoire français en tension

Près de la moitié des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile de France (23%), la région Auvergne-Rhône-Alpes (12%) et PACA (10%). La majorité des régions françaises (9 sur 13) est impactée par la hausse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les territoires les plus touchés sont l’Ile-de-France (+7,3%), l’Outre-mer (+4,6%) et les Pays de la Loire (+4,2%). À contrario, les régions Provence Alpes Côte d’Azur (-7%), Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées (-5,3%) et Bretagne (-4,8) enregistrent un recul significatif laissant apparaître des inégalités territoriales fortes.

« Plus de 690 000 nouvelles entreprises ont été créées en 2018, dont près de la moitié en micro-entreprises ; un record ! Tous ces paris entrepreneuriaux sont portés, avant tout, par des énergies humaines capables de mobiliser des ressources autour d’un projet. Ces chefs d’entreprises acceptent alors de prendre un risque financier professionnel. Beaucoup, cependant, négligent, voire oublient, d’autres risques, plus personnels parfois. Il en est ainsi de l’assurance perte d’emploi souvent reléguée au second plan. Pourtant en 2019 les défaillances d’entreprises devraient repartir à la hausse, et les dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi être toujours plus nombreux ! » commente Charles Battista Directeur Altares

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 300 millions d’entreprises dans 220 pays.

 

Contacts presse

GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com 04 72 65 15 51

Grand-Est : 3 758 dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs :

Dans le Grand Est, 3 758 femmes et hommes dirigeants d’entreprise ont perdu leur emploi en 2018

L’association GSC et la société Altares, dévoilent la troisième vague des chiffres de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Avec 3 758 femmes et hommes entrepreneurs en situation de chômage en 2018, la région Grand Est représente près de 7,5% des pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en France. Si le nombre de dirigeants impactés est légèrement inférieur à celui de l’an passé, il demeure intolérable pour l’association GSC car nombre d’entre eux ne disposent d’aucune protection sociale « chômage ».

Grand Est : des résultats contrastés sur le territoire

Dans le Grand Est, 3 758 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi en 2018, soit une baisse de 0,8% par rapport à 2017.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« 3 758, ce chiffre est insoutenable ! Les chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi ne sont pas pris en charge par Pôle emploi et ne bénéficient d’aucune protection chômage. Pour éviter une catastrophe financière, les dirigeants peuvent prendre une assurance volontaire. Encore faut-il qu’ils sachent que cette dernière existe et qu’elle joue le même rôle que les allocations Pôle emploi pour les salariés. La mobilisation de l’ensemble des acteurs de la région est indispensable pour sensibiliser les entrepreneurs aux conséquences de la perte d’emploi. C’est une nécessité sociale et économique. »

Si le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage est en baisse dans la plupart des départements, certains territoires se trouvent plus impactés. Dans l’Aube, 226 chefs d’entreprises ont ainsi perdu leur emploi en 2018, soit 37,8% de plus qu’en 2017. Le département des Ardennes voit également la situation se dégrader avec 209 dirigeants concernés en 2018 soit une augmentation de 20,8%.

Il est suivi de la Marne avec 390 chefs d’entreprise impactés soit 9,2%. Dans une moindre mesure, le Haut-Rhin connaît une légère hausse (+1,7% soit 547 entrepreneurs).

Sur les dix départements qui constituent la région Grand Est, six enregistrent tout de même une baisse. La Haute-Marne connaît une amélioration significative, le nombre de dirigeants d’entreprise ayant perdu leur emploi en 2018 retombe à 78 soit 22,8% de moins qu’en 2017. Le département de la Meuse affiche quant à lui une diminution de 13,4%, le nombre d’entrepreneurs impactés passant de 97 en 2017 à 84 en 2018. Il est suivi de la Moselle avec 649 chefs d’entreprise concernés soit une baisse de 11,2%. La Meurthe-et-Moselle, avec 422 entrepreneurs en situation de chômage en 2018 enregistre une baisse de 8,1%. Dans les Vosges 271 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi soit un recul de 1,8 %. Enfin, le Bas-Rhin affiche une perte moins importante (-1,0% soit 882 chefs d’entreprise).

Près de 54,5% des entreprises du Grand Est, impactées par la perte d’emploi de leur dirigeant, comptaient un ou deux salariés. L’âge médian des dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi sur le territoire est de 45,8 ans pour 2018 (46 ans sur l’ensemble de la France).

Comme en 2017, les secteurs du commerce, de la construction et de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentrent à eux trois plus de la moitié des pertes d’emploi de la région Grand Est (65,3%). Le secteur du commerce est le plus impacté avec 962 entrepreneurs en situation de chômage en 2018 dont 553 exerçant dans le commerce de détail. Il est suivi par celui de la construction avec 879 chefs d’entreprise touchés. Le secteur de l’hébergement, restauration et débits de boissons concentre 602 des pertes d’emploi de dirigeants. Parmi ces commerçants, 438 pertes d’emploi concernent la restauration.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de chômage en France reste toujours trop élevé

La baisse entamée il y a trois ans connaît un ralentissement. En 2018, 50 185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un nombre stable (+0,3%) par rapport à 2017. Plus du tiers (35,8%) des dirigeants touchés par la perte de leur emploi en 2018 a plus de 50 ans. On pourrait s’attendre à ce que les entrepreneurs plus expérimentés soient mieux préparés aux aléas. Mais aujourd’hui, le modèle économique doit être sans cesse repensé sous peine de fragiliser l’entreprise. Cette nécessaire agilité n’est pas toujours aussi bien ancrée chez les quinquagénaires qui pilotent leur entreprise depuis longtemps que chez les jeunes. Or si un changement de parcours reste tout à fait envisageable pour les dirigeants de moins de 26 ans, la situation s’avère bien plus délicate pour leurs aînés de plus de 50 ans.

L’ensemble du territoire français en tension

Près de la moitié des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile de France (23%), la région Auvergne-Rhône-Alpes (12%) et PACA (10%). La majorité des régions françaises (9 sur 13) est impactée par la hausse du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Les territoires les plus touchés sont l’Ile-de-France (+7,3%), l’Outre-mer (+4,6%) et les Pays de la Loire (+4,2%). À contrario, les régions Provence Alpes Côte d’Azur (-7%), Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées (-5,3%) et Bretagne (-4,8) enregistrent un recul significatif laissant apparaître des inégalités territoriales fortes.

« Plus de 690 000 nouvelles entreprises ont été créées en 2018, dont près de la moitié en micro-entreprises ; un record ! Tous ces paris entrepreneuriaux sont portés, avant tout, par des énergies humaines capables de mobiliser des ressources autour d’un projet. Ces chefs d’entreprises acceptent alors de prendre un risque financier professionnel. Beaucoup, cependant, négligent, voire oublient, d’autres risques, plus personnels parfois. Il en est ainsi de l’assurance perte d’emploi souvent reléguée au second plan. Pourtant en 2019 les défaillances d’entreprises devraient repartir à la hausse, et les dirigeants d’entreprises en situation de perte d’emploi être toujours plus nombreux ! » commente Charles Battista Directeur Altares

 

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs

 

Méthodologie

Les données sont issues de l’étude des entreprises en liquidation judiciaire prononcée par le Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. Ne sont pas intégrées les procédures à l’amiable de dissolution ou de liquidation de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de la GSC

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Générali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 300 millions d’entreprises dans 220 pays.

 

Contacts presse

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